Courcoué - Le Grand-Pré

Historique du nom: Le Grand Pré (1836, Cadastre B2), Le Grand Pré (1949, Cadastre B3). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1621, François du Carroy était qualifié de seigneur de Grand Pré. Son fils, Louis, puis son petit-fils, Pierre-François, héritèrent ensuite de Grand Pré.

Courcoué par Tourainissime

Beaulieu-lès-Loches - La Tour-Chevaleau

Historique du nom: La Tour Chevaleau ou Mazère (XVe siècle, Archives 37, H, Cordeliers de Loches), La Tour Chevalleau (1827, Cadastre C1), La Tour Chevalleau (1959, Cadastre AH). Ce lieu, ne figurant pas sur la carte IGN de 2013, était situé dans la paroisse Saint-André.

Vers 1588, Yves Frangeul, dit le Moineton, seigneur de La Tour Chevaleau, était valet de chambre de Catherine de Médicis. Il avait épousé Bartholomée Facet, femme de chambre de la reine, fille de Claude Facet, garde du corps de la reine-mère. Il eut plusieurs enfants dont Louis Frangeul, seigneur également de La Fontaine (paroisse de Chambourg) et de La Tour Chevaleau qu'il aurait vendue, mais à réméré, en 1627 à Gilles Sabré. Il avait épousé Jeanne Dubois qui, devenue veuve avant 1635, se remaria avec Nicolas Sauvage, seigneur de La Bouchardière, lieutenant général en l'élection de Loches. Elle lui donna trois fils, baptisés à Saint-Ours, qui, en 1670, possédaient La Tour Chevaleau et La Bouchardière.

En 1902, un directeur d'usine nantais, M. Cosson, acheta La Tour Chevaleau. En 1920, il la vendit à François Xavier Reumont de Poligny qui la garda jusqu'en 1934. Plus tard, elle fut de nouveau vendue le 28 février 1938.

Beaulieu-lès-Loches par Tourainissime

Saint-Quentin-sur-Indrois - Le Bout-du-Pont

Historique du nom: Le Boutdupont (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Bout du Pont (1820, Carte de l'état-major), Le Bout du Pont (1827, Cadastre C3), Le Bout du Pont (1935, Cadastre C4), Le Bout du Pont (2014, Carte IGN).

L'histoire de ce lieu est totalement inconnue. Cependant, la présence, dans une des maisons, d'un petit blason aux armes des Fumée semble indiquer qu'il pouvait dépendre du château des Roches. De plus, dans un aveu rendu par Antoine Fumée en 1580, il est écrit: Une maison séant près le pont de Saint-Quentin, le long du chemin tendant à aller de Saint-Quentin à Chédigny. Le logis (📷) aurait pu être habité par un des officiers de la seigneurie.

Saint-Quentin-sur-Indrois par Tourainissime

Maillé - Les Rajeaux

Historique du nom: Les Rajeaux (1827, 1957, Cadastre B2). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1668, Claude Thion, procureur fiscal de la seigneurie de Roziers, était qualifié de sieur des Rajeaux.

Maillé par Tourainissime

Chaumussay - La Petite-Caillère

Historique du nom: La Callière (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Petite Caillière (1811, Cadastre B2), La Petite Caillière (Carte de l'état-major), Petite Caillière (1971, Cadastre ZD), La Petite Caillère (2013, Carte IGN).

En 1558, ce domaine appartenait à Jehan de Périon, écuyer; en 1584, à François de Périon; en 1627-1649, à Philippe de Périon, écuyer; au XVIIIe siècle, à la famille du Puy.

Chaumussay par Tourainissime

Ports-sur-Vienne - La Jacquerie

Historique du nom: La Jaquerie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Jacquerie (1820, Carte de l'état-major), La Jacquerie (1827, 1963, Cadastre A2), La Jacquerie (2014, Carte IGN).

A la fin du XVIIIe siècle, ce domaine était habité par François Barboteau, fermier de la seigneurie de Ports, fils d'un sergent de la baronnie de Marmande. Il y mourut en 1795.

Ports-sur-Vienne par Tourainissime

Ports-sur-Vienne - Le Château

Historique du nom: Forteresse et hostel de Pors (1517, Archives 37, E, Aveu), Ports (1558, Archives 37, C654, E223), Le fief de Porcz (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Le Chateau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Château de Ports (1820, Carte de l'état-major), Le Château de Ports (1827, 1963, Cadastre B3), Le Château (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait du château de Sainte-Maure. Son premier seigneur connu, vers 1242, fut Hugues Peloquin. Un registre de cens de Puygarreau donnait, au XVe siècle, les noms de Huguet Muquetin puis de Jean Barbin. Celui-ci devint conseiller au Parlement de Paris et fut l'un des juges de Jacques Cœur. A son décès, le 22 novembre 1469, sa veuve, Françoise Gillier, lui succéda. Elle fonda à Poitiers, le 7 janvier 1478, le collège dit du Puygarreau. Décédée le 13 mai suivant, ses biens passèrent à son neveu, Pierre Gillier. Le fils de ce dernier, Joachim Gillier, épousa Isabelle du Bueil, de la famille du poète Racan. Dans un aveu du 15 mai 1517, à Renée du Fau, dame de Nouâtre, il rendit hommage pour son domaine, forteresse et hostel de Ports, ainsi qu'il est fortifié et emparé de tours, créneaux, arbalétriers, canonnières, foussés, avec ses appartenances et dépendances esve, garenne, fuye, justice, juridiction haute, moyenne et basse... Lorsqu'il mourut, le 3 octobre 1535, ses descendants devinrent seigneurs de Ports.

Dans les premières années du XVIIe siècle, son arrière-petite-fille, Claude Gillier, épousa Philippe de Périon, seigneur de Thais à Yzeures, de La Grande et Petite Caillère à Chaumussay. Dans un titre de 1637, il se qualifiait de gentilhomme ordinaire de la chambre du roi et de mestre de camp. Dans son testament de 1648, il demandait expressément que son corps, après son décès, soit transporté du château de Port, qu'il habitait, pour être inhumé dans l'église d'Yzeures, dans un cercueil de plomb. Il décéda le 15 novembre 1655. Son corps fut exhumé en octobre 1660 pour être transporté en l'église d'Yzeures.

Son fils, né à Ports le 3 novembre 1617, lui succéda et prit le titre de marquis. En 1717, la fille de Jean Périon, seigneur de Ports, épousa à Pussigny François Arnault, garde de corps du roi. Par la suite, le domaine dut changer de possesseur puisque le propriétaire, en 1773, se nommait Guillemot de l'Espinasse. Le château ne fut plus habité que par le fermier de la seigneurie. Celui-ci, François Barboteau, était le fils d'un sergent de la baronnie de Marmande. Il vécut 30 ans au château, où il éleva une nombreuse famille. Après la mort de sa femme, il se retira à La Jacquerie où il mourut en 1795.

Après la Révolution, le château fut transformé en exploitation agricole. Dans les années 1970, il fut acheté par l'une des animatrices de l'atelier de La Martinerie.

Ports-sur-Vienne par Tourainissime

Marcilly-sur-Vienne - Le Prieuré

Historique du nom: Le Prieuré (1827, Cadastre B1). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre de 1961 et la carte IGN de 2013.

Ce prieuré, placé sous le vocable de sainte Marie-Madeleine, dépendait de l'abbaye de Noyers. Le prieur avait droit de haute, moyenne et basse justice sur les hommes dépendant du prieuré et de ses domaines. En hiver 1752, le prieur René Huet et son valet de douze ans, François Archambault, y furent assassinés. En 1776, le prieur était Jean Fortuné Bouin, demeurant à Châtellerault, puisque le 26 décembre de cette année, il loua la maison et le jardin à Pierre Crozon, charron, et sa femme Marie Girard.

Vendu comme bien national le 2 septembre 1791, il fut acquis par Pierre Emery Forest, notaire à Nouâtre. En 1838, son fils le vendit à un charpentier en moulin, Jean Douet, pour 4.000 francs.

Marcilly-sur-Vienne par Tourainissime

Loches - La Rousselière

Historique du nom: La Rousselliere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Roussellière (1820, Carte de l'état-major), La Roussellière (1826, Cadastre F1), La Roussellière (1962, Cadastre BP), La Rousselière (2013, Carte IGN).

En 1757, ce domaine appartenait à Charles François Louis Henry, médecin, né le 21 décembre 1708, et à Françoise Louise Robin, son épouse. Ils y firent bâtir une chapelle qui fut bénie le 27 septembre de la même année. Le couple eut un garçon, René François Louis, né le 2 janvier 1748, qui fut médecin également.

Son père étant décédé le 2 novembre 1775, René assista seul au transfert du tombeau d'Agnès Sorel, le 5 mars 1777, et eut à examiner les restes de la maîtresse de Charles VII.

En 1974, le château appartenait à M. Freslon.

Loches par Tourainissime

Loches - La Chicarderie

Historique du nom: La Chicardière (1634), La Chicarderie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Chicarderie (1820, Carte de l'état-major), La Chicarderie (1826, Cadastre B2), La Chicarderie (1962, Cadastre BC). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1634, ce domaine appartenait à Anne Guérin, veuve du sieur De Campy, sergent-major au régiment de Navarre. Cette même année, elle épousa M. de Baillou, seigneur de la Forêt à Nouans et possédant aussi la maison de Montaigu à Genillé, où le ménage résidait souvent. En 1749, le propriétaire était M. de Salvert.

Loches par Tourainissime

Chanceaux-près-Loches - Moulin-de-l’Étang

Historique du nom: Moulin de l'Etang (1820, Carte de l'état-major), Moulin de l’Étang (1826, Cadastre B2), L’Étang (1934, Cadastre B2), Moulin de l’Étang (2013, Carte IGN).

En 1311, ce moulin appartenait à Guy de Guenand. En 1949, il broyait de 20 à 30 quintaux de céréales secondaires pour le bétail. En 1953, il cessa son activité.

Chanceaux-prés-Loches par Tourainissime

Chambon - Le Château

Historique du nom: Le Chateau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Chateau de Chambon (1811, Cadastre A1), Le Chateau de Chambon (1820, Carte de l'état-major), Le Chateau (1951, Cadastre A1), Le Château de Chambon (2013, Carte IGN).

Les seigneurs de cette châtellenie avaient le droit de haute et basse justice, avec fourches patibulaires à quatre piliers. Ils pouvaient lever un impôt appelé la taille aux quatre cas car elle pouvait être perçue en quatre occasions, pour: chevalerie, voyage en terre sainte, rançon, mariage de la fille aînée.

Du XIIe au XIVe siècle, les seigneurs de Boussay furent aussi ceux de Chambon: les Payen, puis les Menou après le mariage de Nicolas de Menou avec Jeanne Payen dans la première moitié du XIVe siècle.

A la fin de la guerre de Cent Ans, par acte du 13 octobre 1459, un Jean de Menou vendit Chambon à un seigneur écossais, Jean de Gray, qui avait d'abord servi le roi Henri V d'Angleterre comme écuyer d'écurie, puis se fixa en Touraine. Lors de l'enquête sur la recherche de la noblesse, Hubert de Gray, seigneur de Chambon, comparut le 8 février 1668. Il justifia de son titre depuis 1470 en la personne de son quintaïeul. Le dernier descendant mourut en bas âge le 26 novembre 1673. Chambon passa alors à la famille De Montel, puis à celle de Chartier de Montléger qui le possédait encore à la Révolution. Mais, à l'assemblée de la noblesse du 16 mars 1789, René Louis Charles de Menou, maître de camp de cavalerie, comparaît encore avec le titre de seigneur de Boussay, Chambon, Chaumussay et autres lieux.

Chambon par Tourainissime

Bossay-sur-Claise - Le Château

Historique du nom: Chateau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Château de Bossay (1813, Cadastre H1+H2), Château (1820, Carte de l'état-major), Le Château de Bossay (1962, Cadastre BI), Le Château (2013, Carte IGN).

Jusqu'au milieu du XIVe siècle, la liste des seigneurs de Bossay se confond exactement avec celle des barons de Preuilly. A cette époque apparaît alors Guichard d'Angles, mort en 1380. Sa fille Jeanne, en épousant Jean Isoré, fit entrer Bossay dans les possessions de cette famille, l'une des plus anciennes de Touraine. Le 4 mai 1668, Louis Bernin de Valentinay acheta la terre de Bossay pour 10.000 livres. En 1779, ses descendants la revendirent à Louis Jérôme Victor Dauphin, écuyer. Trois plus tôt, celui-ci avait déjà acquis le château de Ris. Ce fut à Ris que naquit, le 30 mars 1785, le dernier seigneur de Bossay: Louis Joseph Dauphin. Il mourut célibataire à Loches, chez sa sœur Julie, rue des Ponts, à l'âge de 69 ans, le 20 décembre 1854. Il laissait à la ville de Preuilly l'hôtel de la Rallière pour en faire un hospice.

Bossay-sur-Claise par Tourainissime

Azay-sur-Indre - Le Château

Historique du nom: Le fief d’Azay sur Indre (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Loches), Le chasteau d’Azay sur Indre (1690, Archives 37, E131), La seigneurie d’Azay sur Indre (1721, Archives 37, E131), Le Château d’Azay (1794, Archive 37, 1Q 225-374, Biens nationaux), Château (1820, Carte de l'état-major), Château d’Azay (1825, Cadastre B1), Le Château d'Azay (1934, Cadastre B1), Château (2013, Carte IGN).

Le fief d'Azay-sur-Indre relevait du château de Loches, à foi et hommage lige. En 1639, il avait un revenu annuel de 500 livres. Il fut d'abord la propriété de l'abbaye de Noyers. A la fin du XIIe siècle, il passa à Guillaume d'Azay qui était, en 1215, chevalier banneret. L'un de ses descendants fut gouverneur de Loches succédant à Enguerrand de Hesdin. Guillaume de Marques, seigneur de Chenonceau, posséda par héritage une partie de la terre d'Azay à la fin du XVe siècle. La famille de Cardonne donna son nom ensuite au fief d'Azay qui en changea de nouveau lorsqu'il fut érigé en vicomté, en 1586, en faveur d'Amblard de Chadieu. Il se nomma alors Azay-le-Chadieu.

En 1628, apparaissait la famille de Vonnes. Puis vinrent les Luthier, les Bastonneau. Dans un aveu du 3 juillet 1721, François Robert Bastonneau, héritier de son frère mort en 1720, rendit hommage au roi à cause de la grosse tour de Loches, à lui appartenant.

En 1789, le marquis de Lusignan et Marie-Joseph Gilbert du Motier, marquis de la Fayette, étaient co-propriétaires d'Azay. Le château fut vendu comme bien national le 16 floréal an II (5 mai 1794) à M. Boisquet, pour 2.775 livres. Depuis la Révolution et jusqu'en 1975, il changea dix fois de propriétaire.

Azay-sur-Indre par Tourainissime

Abilly - Moulin-de-L'Aulnay

Historique du nom: Le Moulin de Launay (1664), Moulin de L'Aulnay (1833, Cadastre D4), Moulin de L'Aulnay (1958, cadastre D3). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1664, ce moulin, sur le Brignon, appartenait à François de Rougemont, chevalier, seigneur de La Voirie.

Abilly par Tourainissime

Louestault - La Bâlerie

Historique du nom: La Baslerie (1776, acte Thonon/Tours), Les Basleries (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Balerie (1820, Carte de l'état-major), La Bâlerie (1834, 1933, Cadastre B2), La Bâlerie (2013, Carte IGN).

En 1776, ce domaine appartenait à François Bonaventure Gaultier, chanoine prébendé de Saint-Martin de Tours, qui l'avait hérité de son oncle, Ambroise Michel Gaultier, chanoine de Saint-Martin de Tours. Le 22 janvier de la même année, il le vendit à Pierre Martel, écuyer.

Louestault par Tourainissime

Louestault - La Martinière

Historique du nom: La Martinière (1776, acte Thenon/Tours), La Martinière (1820, Carte de l'état-major), La Martinière (1834, 1933, Cadastre A3). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1776, Pierre Martel, écuyer, demeurant à Saint-Christophe-sur-le-Nais, était qualifié de seigneur de La Martinière.

Louestault par Tourainissime

Bréhémont - L'Aireau-des-Dubois

Historique du nom: L’Hereau des Duboys (1671, acte Nau/Langeais), L’Hereau du Bois (1759, acte Douault/Langeais), Les Dubois (1782, Archives 37, H, Chanoinesses de Luynes), L’Hereau du Bois (1784, acte Douault/Langeais), L’Aireau des Dubois (1813, Cadastre B3), L'Aireau des Dubois (1820, Carte de l'état-major), Les Dubois (1852, acte Tribert/Langeais), L’Aireau des Dubois (1940, Cadastre B3). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2016.

En 1782, ce domaine relevait censivement du fief de Milly.

Bréhémont par Tourainissime

Crotelles - L'Être-Bodier

Historique du nom: L’Estre Baudier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), L’Aitre Bodié (1791), L'Aitre Bordier (1820, Carte de l'état-major), L’Aitre Bodier (1835, 1932, Cadastre B1), L'Être Bodier (2014, Carte IGN).

En 1791, ce domaine, dépendant de la châtellenie de Château-Renault, fut vendu comme bien national.

Crotelles par Tourainissime

Villedômer - Les Aîtres-des-Légers

Historique du nom: L’Estre de Legers (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Aitre des Ligets ou des Légers, alias Ramonière Huberdière (1791), Les Aitres des Legers (1820, Carte de l'état-major), Les Aitres des Légers (1835, 1935, Cadastre B1), Les Aîtres des Légers (2013, Carte IGN).

A cet endroit, l'abbaye de Gâtines possédait une borderie qui fut vendue comme bien national en 1791.

Villedômer par Tourainissime