Neuillé-le-Lierre - Sainte-Croix

Historique du nom: Moulin de Sainte Croix (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Moulin de Sainte Croix (1819, Cadastre, B1, D1), St Croix (1820, Carte de l'état-major), Le Moulin de Sainte Croix (1850, DDA-37, Bassin de la Loire, rivière de la Brenne, dossier 5, moulin 18), Sainte-Croix (1936, Cadastre B1), Sainte-Croix (2013, Carte IGN).

Entre 1579 et et 1596, ce moulin fut acheté par Laurent Le Blanc, seigneur de La Vallière. En 1820, il appartenait à Pierre Peltier, marchand meunier.

D'abord moulin à blé, il aurait ensuite servi de moulin à foulon au début du XVIIIe siècle, avant d'être de nouveau utilisé comme moulin à blé à la fin du même siècle.

Neuillé-le-Lierre par Tourainissime

Neuvy-le-Roi - L’Étang-de-Choiselé

Historique du nom: Étang de Choiselé ou de Choiselet (1785, Archives 37, G477), Les Étangs Thoiselet (1788, Archives 37, G479), L’Etang de Choiselé (1834, 1938, Cadastre D1). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Cet étang constituait un fief qui, en 1789, appartenait à la famille Béthune-Sully.

Neuvy-le-Roi par Tourainissime

Souvigny-de-Touraine - La Chuchonnière

Historique du nom: La Chuchonière (1682, 1707, Archives 37, B47), La Chuchonnière (1879, Dictionnaire d'Indre-et-Loire, J.-X. Carré de Busserolle). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Ce domaine relevait du Feuillet. Le 29 janvier 1682, le marquis de Dangeau le vendit à Louis de la Motte-Villebret, qui le céda, le 21 février 1707, à Jean-René Le Roy.

Souvigny-de-Touraine par Tourainissime

Auzouer-en-Touraine - Le Moulin-de-Cléopart

Historique du nom: Le Moulin de Clopart, Le Moulin de Clopatre (XVIIIe siècle, Archives 37, E118, E119), Le Moulin de Cléopart (1879, Dictionnaire d'Indre-et-Loire, J.-X. Carré de Busserolle). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Ce moulin, mû par le ruisseau de la Saulaie (alias la Quintaine), n'existait plus en 1789. Il relevait de la seigneurie d'Auzouer et appartenait, en 1540, à Jean de Fontenay; en 1615, à Louis Louault, en 1668, à Françoise Platrier, veuve de Henri Guimont; vers 1700, à Esme d'Argy; en 1716, à N. Tresmeau.

Auzouer-en-Touraine par Tourainissime

Cinq-Mars-la-Pile - Le Mortier-des-Saules

Le Clos des Perchiers alias Le Mortier des Saules (XVIIIe siècle, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de la Salle-César), Le Mortier des Saules (1772, Archives de Cinq-Mars-la-Pile, plan A5, D8, D11), Le Mortier des Saules (1818 , Archives de Cinq-Mars-la-Pile, plan B5, B7), Le Mortier des Saules (1829, Cadastre A1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1967 et la carte IGN de 2014.

Cette terre dépendait du fief de La Salle appartenant à la collégiale Saint-Martin de Tours.

Cinq-Mars-la-Pile par Tourainissime

Chargé - Les Têtes-Noires

Historique du nom: Le Clos des Têtes Noires (1669, Archives 37, G40) Les Têtes Noires (1939, Cadastre B1), Les Têtes Noires (2013, Carte IGN).

Par testament du 2 juillet 1669, Florentin Noirais, prêtre, légua cette propriété à la fabrique de Chargé.

Chargé par Tourainissime

Les Hermites - Clos-Lambert

Historique du nom: Le Clos Lambert (1766, Aveu), Clos Lambert (1835, Cadastre F3). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1938 et la carte IGN de 2013.

Ce domaine relevait de la châtellenie de La Ferrière selon une déclaration féodale du 6 mars 1766.

Les Hermites par Tourainissime

Saint-Cyr-sur-Loire - Le Colombier

Historique du nom: Métairie des Huit Hommes alias Le Colombier (1600), Le Colombier (1733, acte Tousche/Vallières), Le Colombier (1751, acte Ridet/Tours), Le Colombier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Colombier (1811, Cadastre B1), Le Colombier (1815, acte Juge/Tours, Hypothèques de Tours, 69/2/24), Le Colombier (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Colombier (1863, acte Scoumanne/Tours), Le Colombier (1864, acte Scoumanne/Tours), Le Colombier (1972, Cadastre AR/NE). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Vers 1515, ce domaine appartenait à Jean Galocheau, écuyer, seigneur de Champ-Grimont, qui fonda dans l'église Saint-Pierre-le-Puellier, à Tours, la chapelle de Saint-Jean-Baptiste, dite des Galocheau, et donna, pour cette fondation, une rente assignée sur la métairie des Huit-Hommes. En 1608-1623, Victor de Berziau, écuyer, possédait Le Colombier. N. du Perron en était propriétaire en 1787. A cette époque, il existait, dans la maison de maître, une chapelle mentionnée dans le Registre de visite des chapelles du diocèse de Tours, et dans laquelle on disait la messe une fois par mois.

Saint-Cyr-sur-Loire par Tourainissime

Louestault - Saint-Côme

Historique du nom: Saint Côme (1834, Cadastre A3), Saint Côme (1933, Cadastre A1). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

Ce domaine, propriété du prieuré de Saint-Côme à La Riche, possédait une chapelle dédiée à saint Côme. De nos jours, cette dernière est devenue un logis privé.

Louestault par Tourainissime

Saint-Cyr-sur-Loire - Le Coq

Historique du nom: Le Jau (1332), Le Cocq (1739, acte Tousche/Vallières), Le Jeau alias Le Coq (1771, acte Dreux/Tours), Le Cocq (1787, acte Deschamps/Vallières), Le Jeau ou Le Jau (1785, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de Chaumont), Le Cocq (1811, Cadastre E2), Le Coq (1820, Carte de l'état-major), Le Coq (1823, acte Enou/Fondettes). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

En 1332, ce domaine relevant de Chaumont, fut donné au Chapitre de Saint-Martin de Tours par les exécuteurs testamentaires d’Étienne de Mornay, doyen de Saint-Martin. Des déclarations féodales furent faites au fief de Chaumont les 14 juillet 1626, 13 septembre 1730 et 2 octobre 1785.

Au XIXe siècle, le manoir fut habité par le peintre-verrier Léopold Lobin. Pendant les bombardements anglo-américains de l'été 1944, le manoir a été détruit.

Saint-Cyr-sur-Loire par Tourainissime

Marigny-Marmande - Le Cormier

Historique du nom: Le Cormier (XVIIIe siècle, Archives 37, E166), Le Cormier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini); Le Cormier (1799, Archives 37-1Q459/961, Biens nationaux), Ruines du Cormier (1820, Carte de l'état-major). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Ce domaine faisait partie de l'ancienne paroisse de Nancré. En 1735, Anne de Remigeoux l'acheta à Louis Tisseau. Le 17 pluviôse an VII (5 février 1799), il fut vendu comme bien national sur N. de Remigeoux, émigré. Vers 1820, les bâtiments étaient en ruines.

Marigny-Marmande par Tourainissime

Marçay - La Cour-du-Moine

Historique du nom: La Cour du Moine (1791, Archives 37, 1Q, Biens nationaux), La Cour du Moine (1834, Cadastre B1), La Cour du Moine (1863, acte Scoumanne/Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1957 et le carte IGN de 2013.

Ce domaine, propriété de l'archevêché de Tours, fut vendu comme bien national en 1791.

Marçay par Tourainissime

Chemillé-sur-Indrois - Étang-de-la-Corroirie

Historique du nom: L’Étang de la Couroirie (1791, Archives 37, 1Q, Biens nationaux), Etang de la Couroirie (1820, Carte de l'état-major), Étang de la Couroirie (1832, Cadastre C2), Etang de la Corroirie (1936, Cadastre), Étang de la Corroirie (2013, Carte IGN).

Cet étang, propriété des Chartreux du Liget, fut vendu comme bien national en 1791. A cette époque, son étendue était de 14 arpents.

Chemillé-sur-Indrois par Tourainissime

Beaumont-Village - La Conterie

Historique du nom: La Conterie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Coueterie (1791, Archives 37, 1Q, Biens nationaux),  Le Conterie (1820, Carte de l'état-major), La Conterie (1832, Cadastre C2), La Conterie (1937, Cadastre C1b), La Conterie (2013, Carte IGN).

En 1791, cette propriété de l'abbaye de Beaulieu fut vendue comme bien national.

Beaumont-Village par Tourainissime

Mazières-de-Touraine - Grand-Étang-de-Crémille

Historique du nom: Le Grand Estang de Crémille (1508, Archives 37, B16, B17), Le Grand Étang de Crémille (XVIIIe siècle, Archives 37, E318), Grand Etang de Crémille (1820, Carte de l'état-major), Grand Étang de Crémille,(1829, 1935, Cadastre H2), Grand Étang de Crémille (2013, Carte IGN).

Avec le Petit-Étang-de-Crémille, il formait un fief relevant de la baronnie de Rillé. En 1508, il appartenait à Joachim Paumart.

Mazières-de-Touraine par Tourainissime

Mazières-de-Touraine - Petit-Étang-de-Crémille

Historique du nom: Le Petit Estang de Crémille (1508, Archives 37, B16, B17), Le Petit Étang de Crémille (XVIIIe siècle, Archives 37, E318), Petit Etang (1820, Carte de l'état-major), Petit Étang de Crémille (1829, Cadastre G2), Ancien Etang de l'Arclaine (1935, Cadastre G2). Cet étang ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

Avec le Grand-Étang-de-Crémille, il formait un fief relevant de la baronnie de Rillé. En 1508, il appartenait à Joachim Paumart.

Mazières-de-Touraine par Tourainissime

Monts - La Croix

Historique du nom: Les Croix (1823, Cadastre A1), Croix de Monts (1872, Tableau de recensement), La Croix (1937, Cadastre A1). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

En 1639, ce domaine appartenait à Nicolas Peret, qualifié de sieur des Croix.

Monts par Tourainissime

Saint-Patrice - Île-de-la-Croix-Blanche

Historique du nom: L’Isle de la Croix Blanche (1758, acte Douault/Langeais), L’Ile de la Croix Blanche (1762, Archive 37, C651), Ile de la Croix Blanche (1829, 1933, Cadastre D1). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2016.

En 1762, cette île, située dans la Loire, fut vendue à N. Guillon par le Domaine royal.

Saint-Patrice par Tourainissime

Ciran - La Dauphinerie

Historique du nom: Les Dauphins (1662, Archives 37, E72), La Dauphinerie (1756, Archives 37, E223), La Dauphinerie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Ce domaine relevait du fief de Ciran et appartenait, en 1756, à Mathieu Édouard Couet, lieutenant-colonel de cavalerie.

Ciran par Tourainissime

Bridoré - Étang-des-Défends

Historique du nom: L’Estang des Deffens (1654, Terrier du Bridoré, 40), L’Estang des Deffans (1654, Terrier du Bridoré, 99), L’Étang des Deffend (1791, Archives 37, 1Q189, Biens nationaux), Étang des Défuns (1813, Cadastre C2). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1938 et la carte IGN de 2013.

Le 31 mai 1791, cet étang, appartenant aux religieuses Viantaises de Beaulieu, fut vendu comme bien national. En 1654, son étendue était de 4 arpents.

Bridoré par Tourainissime