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Neuilly-le-Brignon - La Gaudière

Historique du nom: La Gauderie (XVIIe siècle, Dom Housseau, XII-5829), La Gaudière (1757, Archives 37, G78, Lettres Patentes d’érection de la paroisse de Paulmy en collecte indépendante), La Gaudière (1784, Archives 37, 181B1), La Gaudiere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Godière (1820, Carte de l'état-major), La Gaudière (1833, Cadastre E1), La Gaudière (1961, Cadastre AO), La Godière (2013, Carte IGN).

Ce fief relevait de La Guerche, à foi et hommage lige, et 30 sols d'aides.

Neuilly-le-Brignon par Tourainissime

Neuilly-le-Brignon - La Lande-Saint-Jacques

Historique du nom: Oratorium de Brureia (1195, Charte de l'abbaye de Bois-Aubry), Prioratus de Landeia (1220), Capella S. Jacobi de Landa, Domus de Brureia apud Nuilleium (1245), Saint Jacques de la Lande (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Saint Jacques la Lande (1833, Cadastre B1), Saint-Jacques-la-Lande (1961, Cadastre AW1), La Lande Saint-Jacques (2013, Carte IGN).

Vers 1165, le lieu de La Bruère fut donné par Girard de Coué à l'abbaye de Bois-Aubry, à condition qu'elle y ferait construire une chapelle placée sous le vocable de saint Jacques. Par la suite, cette chapelle fut érigée en prieuré. Dès sa fondation, elle devint le but de nombreux pèlerinages et reçut de riches offrandes. Le curé de Neuilly, nommé Renaud, prétendit que cet état de choses lui portait préjudice et qu'il occasionnait une notable diminution dans les revenus de la cure. Une plainte, qu'il forma à ce sujet en justice, se termina par une transaction passée entre lui et Guillaume, abbé de Bois-Aubry (1166). Au siècle suivant, Philippe de la Haye, chevalier, donna au prieuré un pré situé dans la paroisse de Neuilly, en stipulant, dans l'acte passé à cette occasion, que la donation était faite à condition que le prieur et ses religieux célèbreraient son anniversaire et celui de sa femme Isabelle. Au XVe siècle, Saint-Jacques-de-la-Lande fut érigé en bénéfice dont la collation appartenait à l'abbé de Bois-Aubry. Jacques Odet en était prieur en 1529; Jean de la Jaille, en 1540; Gabriel de Voyer, évêque de Rodez, en 1666. Il mourut le 11 octobre 1682. Ce prieuré constituait un fief qui relevait de la baronnie de La Haye (Descartes). Près du prieuré se trouvait une métairie appelée Saint-Jacques-des-Landes. Pierre Baratte, vicaire-général du diocèse d'Angers, en était propriétaire en 1790.

Neuilly-le-Brignon par Tourainissime

Neuilly-le-Brignon - Le Moulin-de-Brault

Historique du nom: Berault (1620, 1629, Archive d'Abilly), Brault (1666, Archives d’Abilly), Moulin de Brauc, (1833, 1961, Cadastre), Le Moulin de Brault (2013, Carte IGN).

En 1620, ce fief appartenait à René de Rougemont, écuyer, qui mourut en avril 1629; en 1666, à Louis de Rougemont, écuyer.

Neuilly-le-Brignon par Tourainissime

Neuilly-le-Brignon - Le Petit-Vairin

Historique du nom: Petit Verrain (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Petit Vairin (1820, Carte de l'état-major), Le Petit Vairin (1833, 1961, Cadastre), Le Petit Vairin (2013, Carte IGN).
En 1722, ce domaine relevait de La Bourrelière.

Neuilly-le-Brignon - Les Marchais-Longs

Historique du nom: Le Marchais Long ou La Cousche (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Loches), Le Marchais Long (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Marchais (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Marchais (1833, 1961, Cadastre), Les Marchais Longs (2013, Carte IGN).
Ce fut un fief.

Neuilly-le-Brignon - La Courance

Historique du nom: La Courance (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Basse Courance (1820, Carte de l'état-major), La Basse Courance (1833, Cadastre), Les Basses Courance (1961, Cadastre), La Courance (2013, Carte IGN).

Neuilly-le-Brignon - Les Chaumes

Historique du nom: Les Chaumes (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Les Chaumes (1820, Carte de l'état-major), Les Chaumes (1833, Cadastre), Les Chaumes (1961, Cadastre AR), Les Chaumes (2013, Carte IGN).
Ce fut un fief.

Neuilly-le-Brignon - La Brosse

Historique du nom: La Brosse (XVIe siècle, Dom Housseau), La Brosse (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), La Brosse (1820, Carte de l'état-major), La Brosse (1833, Cadastre), La Brosse (1961, Cadastre), La Brosse (2013, Carte IGN).
En 1639, ce fief avait un revenu annuel de 15 livres. Il relevait de la vicomté de La Guerche, à foi et hommage plain, un roussin de service et 1 sol de loyaux aides. A partir de la fin du XVe siècle, il a appartenu à:
1- Jacques de Liniers, chevalier, seigneur d'Airvault et de Neuilly-le-Noble (Neuilly-le-Brignon), vivant en 1491, eut, entre autres enfants, de son mariage avec Marie de Karaleu, Gilles, seigneur d'Airvault et de La Mothe, et Marguerite, mariée, en 1516, à René de la Rochefoucaud.
2- René de la Rochefoucaud, premier du nom, chevalier, seigneur de Neuilly-le-Noble, de La Brosse, etc..., du chef de sa femme, Marguerite de Liniers, eut, entre autres enfants, René, qui suit.
3- René de la Rochefoucaud, second du nom, chevalier, seigneur de Neuilly-le-Noble, de La Brosse, de La Rocheboureau, épousa, le 19 février 1545, Françoise de Chergé, fille de René de Chergé, seigneur du Ruau-Persil, et de Françoise de la Jaille, et en eut: René, qui suit; Jean, seigneur du Ruau-Persil, Mathurine; Charlotte, femme d'Adrien Greslet, écuyer, seigneur du Gué-Meunier; Marguerite, mariée à Louis Fumée, écuyer, seigneur des Fourneaux; Renée, mariée à Bonaventure Gillier, écuyer, seigneur de Ports.
4- René de la Rochefoucaud, troisième du nom, chevalier, seigneur de La Brosse, Neuilly-le-Noble, Le Ruau-Persil, Villiers, etc..., lieutenant d'une compagnie de 100 hommes d'armes, épousa, en premières noces, le 1er décembre 1572, Anne Gillier, fille de Bonaventure Gillier, chevalier, seigneur de Puygarreau, baron de Marmande, et de Marie Babou de la Bourdaisière; et, en secondes noces, Jeanne de Popincourt. Du premier mariage, il eut plusieurs enfants, entre Louis, qui suit; Jacques, chevalier de Malte; Alexandre, prieur de Nanteuil; Angélique, mariée à Louis de Montberon; et Anne, femme de Claude Berruyer, chevalier, seigneur de Mareuil. Du second mariage naquirent: René, seigneur de La Tour-de-Broue; et Marguerite, mariée, le 20 novembre 1635, à Louis Brossin, chevalier, seigneur de Méré et de Seignerolles.
5- Louis de la Rochefoucaud, chevalier, seigneur de La Brosse et de Neuilly-le-Noble, vice-amiral à l'armée navale de Bretagne en 1621, conseiller d’État, et chevalier des ordres du roi, épousa, le 22 février 1599, Adrienne de Montberon, fille de Hector de Montberon, chevalier, baron d'Avoir, et de Radégonde de Noyelles. Il eut neuf enfants de ce mariage, entre autres: René; Hector, chevalier de Malte; Jean, qui suit; et René-Bertrand, seigneur de La Lande, de La Chauvinière et de Puy-Barbé.
6- Jean de la Rochefoucaud, chevalier, seigneur de La Brosse et du Chastelier, en Bretagne, lieutenant au régiment d'infanterie d'Orivault, mourut sans alliance.
7- René de la Rochefoucaud, quatrième du nom, frère du précédent, seigneur de La Brosse, de Neuilly-le-Noble, puis de Saint-Aignan, en Bretagne, épousa, le 6 février 1626, Angélique de Préville, fille d'Antoine de Préville, chevalier, et de Catherine Rossignol. Il contracta un second mariage avec Françoise de la Rochefoucaud, fille de Côme de la Rochefoucaud, chevalier, et d'Edmonde de Haste. Du premier mariage il eut huit enfants, entre autres: Antoine, qui suit; Charles, capitaine au régiment du Maine, puis dans celui de la Marine, décédé à La Haye vers 1660; et Élisabeth, mariée, le 16 juin 1657, à Charles de Valory de Destilly, chevalier, seigneur de Lecé.
8- Antoine de la Rochefoucaud, fils du précédent, chevalier, seigneur de Neuilly-le-Noble et de La Brosse, né en 1630, lieutenant au régiment de Piémont en 1656, épousa, le 8 décembre 1661, Renée de Sainte-Marthe, fille de Georges de Sainte-Marthe, seigneur de Charenton, et de Renée Rogier. Il eut, entre autres enfants, Paul-Louis-Lhermite et Charles-Joseph de la Rochefoucaud.
9- Paul-Louis-Lhermite de la Rochefoucaud, chevalier, seigneur de Neuilly-le-Noble, La Chatière, etc..., capitaine au régiment du Maine, mourut le 12 juillet 1716. De son mariage, contracté le 6 août 1708, avec Marie-Jeanne Gruter, il eut deux fils, morts jeunes, et deux filles, dont une, Jeanne-Françoise-Antoinette, mariée le 1er octobre 1731, à Jean-Étienne, comte de Blanes, hérita des terres de Neuilly-le-Noble, La Brosse, la Chatière, et autres.

Neuilly-le-Brignon - Le Grand-Vairin

Historique du nom: Verrin (1722, Archives 37, E23), Grand Verrain (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Vairin (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Vairin (1833, 1961, Cadastre), Le Grand Vairin (2013, Carte IGN).
En 1722, ce domaine relevait de La Bourrelière.

Neuilly-le-Brignon - La Thibaudière

Historique du nom: La Thiberdière (XVe siècle, Dom Housseau), La Thibaudière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), La Thibaudière (XVIIe siècle, Archives 37, E4), La Thibaudière (1784, Archives 37, 181B1), La Thibaudiere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Thibaudière (1833, 1961, Cadastre), La Thibaudière (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la baronnie de La Haye (Descartes). Au XVIIe siècle, il était réuni à la châtellenie de Paulmy.

Neuilly-le-Brignon - Serigny

Historique du nom: Sariniacus (XIe siècle), Cerigné (1471, Archives 37, E179), Cerignières (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Preuilly), Serigny (1784, Archives 37, 181B1), Cerigné (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Serigny (1820, Carte de l'état-major), Serigny (1833, 1961, Cadastre), Serigny (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait du château de La Haye (Descartes). En 1471, il appartenait à Guillaume Gueffault. Par la suite, il fut possédé par la famille Voyer d'Argenson.

Neuilly-le-Brignon - La Racinière

Historique du nom: La Raciniere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Racine (1820, Carte de l'état-major), La Racinière (1833, Cadastre), La Racinière ou La Racelinière (1883, J.-X. Carré de Busserolle, Dictionnaire d'Indre-et-Loir), La Racinière (1961, Cadastre), La Racinière (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la baronnie de La Haye (Descartes). Au XVIIIe siècle, il fut incorporé à la châtellenie de Paulmy.

Neuilly-le-Brignon - La Poulaise

Historique du nom: La Poulaise (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Poulaise (1794, Archives 37, 1Q260, Biens nationaux), La Poulaise (1820, Carte de l'état-major), La Poulaise (1833, 1961, Cadastre), La Poulaise (2013, Carte IGN).
Pierre Gilbert de Voisins, baron du Grand-Pressigny, y possédait une métairie qui fut vendue comme bien national en 1793.

Neuilly-le-Brignon - Les Places

Historique du nom: Territorium de Placzes (1257, Archives 86, 3H, Prieuré d’Aquitaine), Les Places (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Les Places (1794, Archives 37, 1Q260, Biens nationaux), Les Places (1820, Carte de l'état-major), Les Places (1833, 1961, Cadastre), Les Places (2013, Carte IGN).
Ce hameau dépendait du fief de Neuilly. En 1793, les métairies qui le composaient furent vendues comme biens nationaux sur Pierre Gilbert de Voisins.

Neuilly-le-Brignon - Le Moulin-de-Bruneau

Historique du nom: Le Moulin Bruneau (1318, 1455, Dom Housseau), Le Moulin Bruneau (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Le Moulin Bruneau (1713, Archives 37, B, Justice de La Haye-Descartes), Moulin Bruneau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Moulin Bruneau (1820, Carte de l'état-major), Moulin de Bruneau (1833, Cadastre), Le Moulin de Bruneau (1961, Cadastre), Le Moulin de Bruneau (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la baronnie de La Haye (Descartes). En 1318, il appartenait à Charles de la Chaère; en 1455, à Jean Barbin; en 1480, à René Gillier; en 1537, à Adrien Vernon; en 1565, à Anne de Vernon; en 1601, à Odet de la Noue.

Neuilly-le-Brignon - Les Fougères

Historique du nom: Les Fougères (XVe et XVIe siècles, Bibliothèque nationale), Fougères (1527, Archives nationales, P13). Ce lieu ne figure pas sur la cadastre de 1961 et la carte IGN de 2013.
Ce fief relevait des Bordes-Guenand. En 1431, il appartenait à Jean Faucras; en 1480, à Pierre de Reffuges, écuyer; en 1527, à Antoine de La Rochefoucauld, chevalier de l’Ordre, seigneur de Barbezieux, qui rendit hommage le 28 février; en 1559, à Charles de Villebresme; en 1575, à Louis de Villebresme; en 1606, à François de Villebresme.

Neuilly-le-Brignon - La Haute-Courance

Historique du nom: La Haute Courance (1452), La Courance (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Haute Courance (1820, Carte de l'état-major), La Haute Courance (1833, Cadastre), La Haute Courance (1961, Cadastre), La Haute Courance (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la vicomté de La Guerche, à foi et hommage simple, et 15 sols à muance de seigneur. En 1452, il appartenait à Jean Gallois, écuyer, qui rendit hommage le 9 mai; en 1689, à Antoine de la Rochefoucauld. En 1793, il fut vendu, comme bien national, sur Louis de la Chesnaye du Gué-des-Pins, émigré.

Neuilly-le-Brignon - Chemsous

Historique du nom: Chanteroie (1265, Dom Housseau), Chasseroue (1542, Dom Housseau), Chausseroue (1567, Dom Housseau), Chemessou (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Chemsons (1820, Carte de l'état-major), Chemsous (1833, Cadastre), Chenesou, Chemessou, Chemsous (1835, Atlas cadastral de Gayard), Chemsous (1961, Cadastre), Chemsous (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la baronnie de La Haye (Descartes), à foi et hommage lige, et dix sols d'aides. En 1542, il appartenait à Étienne de Crouzilles qui rendit hommage le 19 octobre de cette année; en 1567, à René de la Rochefoucaud.

Neuilly-le-Brignon - La Cataudière

Historique du nom: La Cataudière (XVIIe siècle, Dom Housseau), La Cataudiere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Cataudière (1820, Carte de l'état-major), La Cataudière (1833, Cadastre), La Cataudière (1961, Cadastre), La Cataudière (2013, Carte IGN).
En 1600, ce fief appartenait à Pierre Maupetit, écuyer; vers 1604, à Jean de Baygnan, marié à Mabille Maupetit, fille de Pierre Maupetit; en 1650, à Charles de Baygnan, écuyer, seigneur de La Joumeraye et du Puy-de-Sepmes; en 1666, à Alain de Baygnan, écuyer.

Neuilly-le-Brignon - L'Auvinière

Historique du nom: Louvinière (1265, Dom Housseau, charte de Philippe de La Haye), Lauvinière (1784, Archives 37, 181B1), L’Auvinière (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Lauvinière (1833, Cadastre), Lauvinière (1961, Cadastre), L'Auvinière (2013, Carte IGN).
Ce lieu est cité dans une charte de Philippe de La Haye, chevalier, de février 1265, qui donna à la chapelle de Saint-Jacques de la Lande et au prieur, nommé Arnoul, un pré situé dans la paroisse de Neuilly.