Courçay - Le Grand-Rouvre

Historique du nom: Rubrus (862, Charte de Charles le Chauve), Rupe Rubra (1228, Archives 37, G594), Le Rouvre ou La Bricetterie ou Les Bricets (1505, 1601, Archives 37, G594), Le Rouvre (1748, acte Ridet/Tours); Le Rouvre (1773, acte Thenon/Tours), Grand Rouvre (XVIIIe siècle, Carte IGN), Le Rouvre (1791, Archives 37, 1Q, Biens nationaux), Le Grand Rouvre (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Rouvre (1827, Cadastre E1), Le Grand Rouvre (1936, Cadastre), Le Grand Rouvre (2014, Carte IGN).
Au IXe siècle, ce domaine appartenait à l'église Saint-Martin de Tours qui fut confirmée dans cette possession par Charles le Chauve (862). Par la suite, il passa à des laïcs. En 1228, Jean de la Guespière, écuyer, vendit à Jean d'Aubigny, sous-doyen de Saint-Martin, son hébergement du Rouvre qui fut affecté à la fondation de la chapelle Saint-Mathurin du Rouvre, Capellam Sancti Mathurini, sive de Rupe Rubra, alias chapelle de Notre Dame de l’heure de prime. Plus tard, cet hébergement devint une dépendance de la chapelle du Crucifix-Vert, alias Saint-Jean-l’Évangéliste. Le Rouvre fut vendu comme bien national, le 29 avril 1791, pour 1.550 livres.

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