Saint-Cyr-sur-Loire - Le Colombier

Historique du nom: Métairie des Huit Hommes alias Le Colombier (1600), Le Colombier (1733, acte Tousche/Vallières), Le Colombier (1751, acte Ridet/Tours), Le Colombier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Colombier (1811, Cadastre B1), Le Colombier (1815, acte Juge/Tours, Hypothèques de Tours, 69/2/24), Le Colombier (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Colombier (1863, acte Scoumanne/Tours), Le Colombier (1864, acte Scoumanne/Tours), Le Colombier (1972, Cadastre AR/NE). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Vers 1515, ce domaine appartenait à Jean Galocheau, écuyer, seigneur de Champ-Grimont, qui fonda dans l'église Saint-Pierre-le-Puellier, à Tours, la chapelle de Saint-Jean-Baptiste, dite des Galocheau, et donna, pour cette fondation, une rente assignée sur la métairie des Huit-Hommes. En 1608-1623, Victor de Berziau, écuyer, possédait Le Colombier. N. du Perron en était propriétaire en 1787. A cette époque, il existait, dans la maison de maître, une chapelle mentionnée dans le Registre de visite des chapelles du diocèse de Tours, et dans laquelle on disait la messe une fois par mois.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Le Coq

Historique du nom: Le Jau (1332), Le Cocq (1739, acte Tousche/Vallières), Le Jeau alias Le Coq (1771, acte Dreux/Tours), Le Cocq (1787, acte Deschamps/Vallières), Le Jeau ou Le Jau (1785, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de Chaumont), Le Cocq (1811, Cadastre E2), Le Coq (1820, Carte de l'état-major), Le Coq (1823, acte Enou/Fondettes). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

En 1332, ce domaine relevant de Chaumont, fut donné au Chapitre de Saint-Martin de Tours par les exécuteurs testamentaires d’Étienne de Mornay, doyen de Saint-Martin. Des déclarations féodales furent faites au fief de Chaumont les 14 juillet 1626, 13 septembre 1730 et 2 octobre 1785.

Au XIXe siècle, le manoir fut habité par le peintre-verrier Léopold Lobin. Pendant les bombardements anglo-américains de l'été 1944, le manoir a été détruit.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Dorissière

Historique du nom: La Dorissière (1785, Archives 37, G245), La Doricière (1848, acte Robin/Tours). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

En 1787, ce domaine appartenait à Abraham Bellanger, bourgeois de Tours. Il y avait une chapelle mentionnée, en 1779, dans le Registre de visite des chapelle du diocèse de Tours.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Gratte-Chien

Historique du nom: Grattechien (1256, Archives. 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de Chaumont), Gratte Chien (1747, 1779, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, terrier de Chaumont). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Ce domaine relevait du fief de Chaumont selon une déclaration féodale faite en 1785. Par acte du 6 novembre 1747, Jacques Augeoit, maître d'hôtel du duc d'Orléans, le vendit à Joseph Pezeron, qui le céda, le 28 février 1749, à Jean Tabareau. Ce dernier, le 18 avril 1768, le vendit à Louis Bellanger. Jean André Coudreau l'acheta par acte du 3 septembre 1779.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Groseille

Historique du nom: La Groseille (1523, 1572, 1785, Archives 37, G394), La Groiselle (1750, acte Petit/Tours), La Groseille (1811, Cadastre A1), La Groseille (1851, acte Robin/Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait du fief de Chaumont selon des déclarations féodales des 20 mai 1523, 8 septembre 1572 et 7 octobre 1785.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Les Lopinières

Historique du nom: Les Lopinières (1509, 1523, Archives 37, G394, Terrier de Chaumont). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre et la carte IGN.

Ce domaine relevait des fiefs de Saint-Cyr et de Lutèce selon des déclarations féodales faites, le 27 juin 1509, par André Tournebœuf; le 27 mai 1523, par la veuve de Méry Lopin; en 1617, par Marie Rousselle, veuve de Pierre Lopin; en 1629, par Pierre Lopin et Jean Donet; le 18 mai 1686, par Antoine Chauvignon; en 1785, par Martin Caillaut, chanoine de Saint-Martin de Tours.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Le Morier

Historique du nom: Le Morier (1771, acte Hubert/Tours), Le Morier (21 novembre 1791, Archives 37, Q638-104-8, Biens nationaux), Le Morier (1811, Cadastre A1), Le Morier (1820, Carte de l'état-major). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait du fief de Bezay. En 1787, il appartenait à Martin Caillaut, principal du collège de Tours. A cette époque, on y voyait une chapelle qui était mentionnée dans le Registre de visite du diocèse de Tours. En 1791, il était possédé par le Chapitre de l'église de Tours sur lequel il fut vendu comme bien national, le 21 novembre, pour 34.100 livres.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Vaugenais

Historique du nom: Vaugenay (1447, Archives 37, H, Abbaye de Marmoutier, mense séparée), Vaugenais (1666, Archives 37, G, Chapitre de Saint-Martin de Tours, fief de Chaumont), Vaugenet (1794, acte Juge/Tours), Vaugenai (1811, Cadastre A1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait du fief de Marmoutier et appartenait, en 1447, à Adam Hodon; en 1536, à Méry Testu; en 1666, à N. de Coutelle.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Les Amandiers

Historique du nom: Les Amandiers (1740, Archives 37, G91), Les Amandiers (1769, acte Chereau/Tours), Amandiers (1785, Archives 37, G245), Les Amandiers (1811, Cadastre A1), Les Amandiers (1820, Carte de l'état-major). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

En 1740, ce domaine relevait du fief de Bezay.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Bellevue

Historique du nom: Terra de Belovidere (1099, Dom Housseau, IV-1036-1201), Bellevue (1771, acte Brisset/Tours), Bellevue (1785, Archives 37, G245), Belle Vue (1811, Cadastre E2), Bellevue (1820, Carte de l'état-major), Bellevue (1850, acte Mahoudeau/Tours), Bellevue (1958, acte Lejeau/Amboise). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine appartenait à l'abbaye de Marmoutier. En 1099, César d'Amboise voulut s'emparer de cette terre, prétendant qu'il dépendait de son fief. Mais, en 1100, il transigea avec les religieux de Marmoutier, renonça à ses prétentions et consentit même à leur payer six livres à titre de réparation du préjudice qu'il leur avait causé en percevant un impôt sur les bêtes de somme.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Petite-Boitrie

Historique du nom: Petite Boisterie (1785, Archives 37, G245), La Petite Boiterie (XVIIIe siècle, Archives 37, G 91), Petite Boitrie (1811, Cadastre D1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait censivement du fief de Bezay.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Carrée

Historique du nom: La Quarrée (1498, Archives 37, H, Abbaye de Marmoutier, mense séparée), La Carrée (1730, acte Tousche/Vallières), La Grande Carrée (1771, acte Hubert/Tours), Grande Carrée (1785, Archives 37, G245), Le Carré (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Carrée (1811, Cadastre A1), La Carrée (1820, Carte de l'état-major), La Grande Carrée (1833, acte Walwein/Tours), La Grande Carrée (1863, acte Scoumanne/Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

En 1779, ce domaine appartenait à N. du Verger, docteur en médecine; en 1787, à N. Gaudin; en 1862, à Adélaïde Jeanne Oreau, épouse de Pierre Marie Maillet. Il y avait une chapelle qui figure dans le Registre de visite des chapelles du diocèse de Tours, en 1787.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Casse-Droit

Historique du nom: Casse Drouet (1785, Archives 37, G245), Casse Drouet (1789, Archives 37, G91), Casse Droit (1811, Cadastre A1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait du fief de Bezay. En 1789, il appartenait à Thérèse-Louise Chartier.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Galanderie

Historique du nom: La Galanderie (XVIIe, XVIIIe siècles, Archives 37, H, Abbaye de Marmoutier), La Gallanderie (1793, acte Juge/Tours), La Galandrie (1813, Cadastre A1), La Galanderie (1827, acte Bidault/Tours), Villa Sainte-Marie (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait de Marmoutier. Vers 1600, il appartenait à Jacob Baret, procureur du roi à la prévôté royale de Tours; en 1621, à Jacques Baret, référendaire à la chancellerie de France; en 1681, à Michel Taschereau; en 1728, à Joseph Taschereau, trésorier de France à Tours. Ce dernier, en sa qualité de seigneur de La Galanderie, avait le droit de banc dans la chapelle Saint-Michel de l'église de Saint-Cyr. La propriété passa ensuite aux familles Sorbière et Delacquis.

En 1862, Mme Louis Tonnellé donna à ce domaine (lui appartenant depuis 1855) le nom de Villa Sainte-Marie. En 1866, elle la légua à la Congrégation des Oratoriens qui la conserva jusqu'en 1878. Après la Première Guerre mondiale, la villa devint une école professionnelle pour Mutilés et Invalides de Guerre. Le 8 décembre 1937, le Tribunal de Tours officialisa cette appellation. En 1937, cette villa fut achetée par le ministère de la guerre pour loger le général d'aviation commandant le 3ème division aérienne. De nos jours, elle appartient à Philippe Briand, maire de Saint-Cyr.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Gaudinière

Historique du nom: La Gaudinière (1496, Archives 37, H, Abbaye de Marmoutier, mense séparée), La Godinerie (1795, acte Petit/Tours), La Gaudinière (1811, Cadastre D1), La Gaudinière (1820, Carte de l'état-major), La Gaudinière (1972, Cadastre BK). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait de l'abbaye de Marmoutier et devait une rente au prieuré de Saint-Côme selon un acte du 11 juin 1496. En 1795, il appartenait à N. Marcadié, marchand serrurier.

En 1937, le manoir fut acquis par le philosophe Henri Bergson. Il y vécut jusqu'en octobre 1940.

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Saint-Cyr-sur-Loire - La Haye

Historique du nom: Haya Bodini (XVIe siècle, Chronicon abbatis Majoris Monasterii), Les Hayes ou La Haye Bodin (XVIIe siècle, Archives 37, G394), La Haye Bodin (1750, acte Pallu/Tours), La Haye (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Haye Bodin (1791, Archives 37, 1Q618-8-7, Biens nationaux); La Haye (1813, Cadastre A1), La Haye (1820, Carte de l'état-major), La Haye (1835, acte Bonneville/Tours). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce fief relevait de Chaumont. Il appartenait à l'abbaye de Marmoutier sur laquelle il fut vendu comme bien national, le 1er février 1791, pour 53.100 livres.

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Saint-Cyr-sur-Loire - L'Homme-Noir

Historique du nom: L’Homme Noir (1330 (A.D. 37-G 393), Lhomme Noir (1811, Cadastre A1), Place de l’Homme Noir (1972, Cadastre). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait de Lutèce. En 1330, Jean Michis et Jeanne, sa femme, le vendirent, pour 60 sols tournois, à Étienne de Mornay, professeur ès-lois.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Lutèce

Historique du nom: Fief de Tesse (1273), L’Alleu de Tesse (1330), Ludetesse (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Tours), Ludetesse ou Le Pavillon (1745, Archives 37, G394), Lutèce (1749, acte Georget/Tours), La Lutesse (1759, acte Métivier/Fondettes), Lutèce (1772, acte Chereau/Tours), Ludetesse (1785, Archives 37, G245), Lutèce (1811, Cadastre A1), Lutèce (1820, Carte de l'état-major), Lutèce (1857, acte Robin/Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce fief relevait de Beaumont. Au XVIIIe siècle, il appartenait à la collégiale Saint-Martin de Tours.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Ménage

Historique du nom: Ménage (1748, 1750, acte Pallu/Tours), Le Ménage (1789, acte Boisquet/Tours), Le Ménage (1795, acte Guiot/Noizay), Ménage (1811, Cadastre A1), Ménage (1820, Carte de l'état-major). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce domaine relevait du fief de Bezay. Vers 1600, il appartenait à Jean Tenain, écuyer; en 1640, à Abraham Villavoine; en 1665, à Élisabeth Villavoine qui le vendit à Louis Angot. De nos jours, ce lieu abrite l'école primaire Saint-Joseph.

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Saint-Cyr-sur-Loire - Le Pressoir-Fondu

Historique du nom: Le Pressoir Fondu (1740, 1756, Archives 37, C336, C650), Pressoir Fondu (1811, Cadastre). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre de 1972 et la carte IGN de 2014.

Ce fief relevait du château de Tours. Vers 1740, il appartenait à Louis-François, marquis de Galliffet; en 1756, à Thérèse de Fromenteau, veuve de Jacques Chartier, entrepreneur des ouvrages du roi. La collégiale Saint-Martin de Tours y possédait une ferme qui fut vendue comme bien national, le 17 décembre 1791, pour 4.600 livres.

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