Esvres - La Carte

Historique du nom: La Carte (1781, Archives 37, E323), La Carte (XVIIIe siècle, Carte de Cassini). Ce lieu, situé dans le bois de la Duporterie, ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.

Les bâtiments de cette métairie n'existaient plus en 1781, époque à laquelle Louis Henri Marie et Jules Hercule, princes de Rohan, vendirent cette propriété à Claude Sain de Bois le Comte, chevalier, avocat au Parlement.

Esvres par Tourainissime

Esvres - La Gallerie

Historique du nom: La Galerie (1720, Archives 37, E73), La Galerie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Gallerie (1820, Carte de l'état-major), La Gallerie (1823, Cadastre C1), La Gâllerie (1935, Cadastre C1), La Gallerie (2014, Carte IGN).

Ce domaine relevait censivement des fiefs de Montbazon, La Dorée, La Branchoire et Thorigny. Par acte du 10 août 1720, Madeleine Sauvillain le vendit à René Cuisnier, procureur au grenier à sel de Tours.

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Esvres - La Haute-Cour

Historique du nom: La Haute Cour (1820, Carte de l'état-major), La Haute Cour (1823, 1935, Cadastre E2), Haute-Cour (2014, Carte IGN).

Un cimetière gallo-romain d'une superficie d'un hectare a été découvert à cet endroit. Le site fut fouillé de 1905 à 1909 par le Dr Octave Bobeau, maire de Cormery et correspondant du Comité des travaux scientifiques. Il avait été alerté par Émile Gautron, maire d'Esvres, dont le frère Auguste avait trouvé un millier d'objets gallo-romains près du cimetière. Soixante-dix de ces objets sont exposés, sous vitrine, à la mairie.

Les sépultures étaient des inhumations en cercueils en bois protégés par des coffres en pierres brutes, et des incinérations en urnes. Des objets (céramiques, verreries et figurines en terre blanche) et des pièces de monnaie accompagnaient ces tombes.

Esvres par Tourainissime

Esvres - La Fosse-des-Joncs

Historique du nom: La Fosse des Joncs (1451, 1630, 1648, 1712, Archives 37, H, Abbaye de Cormery), La Fosse des Joncs (1823, Cadastre H2). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1935 et la carte IGN de 2014.

Cette terre devait diverses rentes à l'abbaye de Cormery selon des actes de 1451, 1630, 22 septembre 1648 et 16 décembre 1712.

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Esvres - Les Goupillères

Historique du nom: Les Goupillères (1583, Dom Housseau, XI-4700), Les Goupillères (XVIe siècle, Dom Housseau, XII-7003), Les Goupillières (1773, acte Gervaize/Tours), Les Goupilleres (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Les Goupilleres (1820, Carte de l'état-major), Les Goupillères (1823, 1935, Cadastre A2). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Cette ferme relevait du château de Montbazon et appartenait, en 1583, à René Cyret, chirurgien à Tours; en 1747, à Pierre Hector Étienne Lebreton.

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Esvres - Les Morés

Historique du nom: Maureacum (XIe siècle, Recueil des Historiens des Gaules, XI-256), More (1295), Moré (XVIIIe siècle, Archives 37, H Abbaye de Cormery), Les Morés (1823, 1935, Cadastre H1). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Au XIe siècle, ce domaine dépendait de l'archevêché de Tours. Au XVIIIe siècle, il devait une rente à l'abbaye de Cormery.

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Esvres - Les Coudrières

Historique du nom: La Coudriere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Les Coudriers (1794, acte Juge/Tours), Les Coudrieres (1820, Carte de l'état-major), Les Coudrières (1823, 1935, Cadastre), Les Coudrières (2014, Carte IGN).

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❤ La Fruitière tourangelle

Esvres - Prieuré-de-Vonte

Historique du nom: Vedunta (1070, Cartulaire de Cormery, Charte 41), Veduntam (XIIe siècle, Acta Sanctorum), Vontes (1247, Archives nationales, JJ274, Querimoniae Turonum), Prioratus de Vontes (1330, Pouillé de Tours), Priori de Vontes (fin XIVe siècle, Pouillé de Tours), Petit Vontes (1443, Dom Housseau), Prioté de Vontes (1454, Archives 37, H747), Le Prieuré de Vontes (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montbazon), Le Prieuré de Vonte (1750, acte Mouys/Tours), Prieuré de Vontes (1781, Archives 37, G11), Le Prieuré de Vonte (1792, Archives 37, 1Q314, Biens nationaux), Prieuré de Vonte (1823, 1935, Cadastre), Prieuré de Vonte (2014, Carte IGN).

Ce prieuré, placé sous le vocable de saint Pierre, dépendait de l'abbaye de Cormery. La chapelle, qui existe encore, était interdite en 1787. En 1070, le comte Foulques le Réchin donna la terre de Vonte à l'abbaye de Cormery qui y fonda un prieuré.

En 1180, l'abbaye de Cormery fut confirmée dans la possession du prieuré de Vonte par le pape Alexandre III.

Le service religieux était célébré, dans ce prieuré, par deux moines tirés de l'abbaye bénédictine de Cormery et dont l'un prenait la qualité de prieur.

Le lundi des Rogations, les religieux de Cormery se rendaient processionnellement à Vonte. Le prieur devait leur offrir une collation composée d’œufs, de lait et de beurre. De plus, il donnait à l'abbé 25 sols tournois.

Jacques Guidol était prieur de Vonte en 1338; Jean Bodin, en 1447; Jean Morin, en 1454; Victor-Luc Milon, chanoine de Saint-Martin de Tours, en 1745; Bernard-Marie-Gabriel Joubert de Bouville, vicaire général du diocèse de Chartres, commandeur ecclésiastique des ordres du Mont-Carmel et de Saint-Lazare, en 1771; François-Martin Cuisnier des Blinières, chanoine de Saint-Venant, en 1789.

Le prieuré constituait un fief qui relevait du château de Montbazon.

Le 14 septembre 1099, le bienheureux Léoteric mourut à Vonte. Il fut inhumé dans la chapelle Saint-Nicolas, à Cormery.

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Esvres - Le Vau

Historique du nom: Le Vau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Vau (1820, Carte de l'état-major), Le Vau (1823, 1935, Cadastre), Le Vau (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait de la châtellenie de Cormery et de La Carte. Jadis, il y avait, en ce lieu, un moulin actionné par le ruisseau de Nantilly.

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Esvres - Moulin-de-Port-Joie

Historique du nom: Molendinus de Porte Joye (1338, Dom Housseau, Cartulaire de l’abbaye de Cormery), Le Moulin (1794, Archives nationales, F20/291), Moulin de Port Joye (1820, Carte de l'état-major), Moulin de Port Joye (1823, Cadastre), Moulin de Porte-Joie (1935, Cadastre), Moulin de Port Joie (2014, Carte IGN).

Ce moulin dépendait du château d'Esvres. En 1338, il appartenait à l'abbaye de Cormery; en 1789, au marquis de Javerlhac, seigneur d'Esvres. Son meunier était alors François qui en devint propriétaire en 1794. En 1802, Pierre Roger, meunier du moulin de Vaugrignon, aujourd’hui disparu, en était le propriétaire. En 1852, ce moulin était exploité par la veuve Bullot. Il fut ensuite la propriété de M. Gillet avec comme meunier M. Lepage. Jusqu'en 1990, il appartint à M. et Mme Blaive.

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Esvres - Les Perruches

Historique du nom: Les Perruches ou Le Murger (1561, Archives 37, H, Livre des friches de l’abbaye de Cormery), Les Perruches (1935, Cadastre), Les Perruches (2014, Carte IGN).

En 1561, ce domaine devait une rente à l'abbaye de Cormery.

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Esvres - La Pahéserie

Historique du nom: La Pagerie (XVIIe siècle, Dom Housseau) La Pahéserie (1820, Carte de l'état-major), La Paheserie (1823, Cadastre), La Pahéserie (1935, Cadastre), La Pahéserie, 1958, Carte IGN).

Ce fief relevait de Bois-Héry.

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Esvres - L'Hurmet

Historique du nom: Hure (1232, Dom Housseau), Hure Mette alias Hure (1415), L'Hurmet (1820, Carte de l'état-major), L'Hurmet (1823, Cadastre), L'Hurmet (1935, Cadastre), L’Hurmet (2014, Carte IGN).

En 1232, ce fief appartenait à Philippe d'Esvres. Il relevait alors de l'archevêché de Tours.

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Esvres - La Huaudière

Historique du nom: La Huraudière (1656, Archives 37, H, Abbaye de Cormery), La Huaudiere (1820, Carte de l'état-major), La Huaudière (1823, Cadastre), La Huaudière (1935, Cadastre), La Huaudière (2014, Carte IGN).

Ce fief, avec moyenne et basse justice, relevait de l'abbaye de Cormery, au devoir de 5 sols de cens et d'un setier de froment. En 1510, il appartenait au prieuré du Grais. Ce domaine avait alors une étendue de 77 arpents. Georges Duval en était propriétaire en 1650. Par acte du 18 mars 1656, il le vendit à Jean Guimier.

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Esvres - Haut-L'Hommais

Historique du nom: Le Haut Lhommais (XVIIIe siècle), L’Homais (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), L’Hommaye (1792, Archives 37, 1Q313, Biens nationaux), L'Hommais (1820, Carte de l'état-major), L’Hommais (1823, Cadastre) ; Haut L’Hommais (1935, Cadastre), Haut L'Hommais (2014, Carte IGN).

C'était un fief.

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Esvres - La Hardellière

Historique du nom: La Hardellière (XVIIe siècle, Dom Housseau), La Hardeliere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Hardelliere (1820, Carte de l'état-major), La Hardelliere (1823, Cadastre), La Hardellière (1935, Cadastre), La Hardellière (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait du château de Montbazon.

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Esvres - La Gittourie

Historique du lieu: La Gitourie (XVIIIe siècle, Archives 37, H, Abbaye de Cormery), La Gitonnerie (1792, Archives 37, 1Q314, Biens nationaux), La Giloire (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Gitonnerie (1795 acte Archambault de Beaune/Tours), La Gitourie (1820, Carte de l'état-major), La Gitourie (1823, Cadastre), La Gittourie (1935, Cadastre), La Gittourie (2014, Carte IGN).

Ce domaine est une ancienne propriété de l'abbaye de Cormery.

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Esvres - Forges

Historique du nom: Fabricae (791, Cartulaire de Cormery, charte 4), Fabricas (860, Cartulaire de Cormery, charte 50), Forgiae (1322, 1338, Cartulaire de Cormery, chartes 231 et 232), Les Forges (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montbazon), Forges (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Forges (1791, Archives 37, 1Q302, Biens nationaux), Forges (1792, Archives 37, 1Q312, Biens nationaux), Forge (1795, acte Archambault de Beaune/Tours), Forge (1820, Carte de l'état-major), Forge (1823, Cadastre), Forge (1935, Cadastre), Forges (2014, Carte IGN).

Ce prieuré appartenait à l'abbaye de Cormery. La chapelle était placée sous le vocable de Saint-Eutrope. Forge constituait un fief qui relevait de la châtellenie de Cormery.

Esvres par Tourainissime

Esvres - La Duporterie

Historique du nom: La Duporterie (1781, Archives 37, E323), La Duportrie (1820, Carte de l'état-major), La Duportrie (1823, Cadastre), La Duportrie (1935, Cadastre), La Duporterie (2014, Carte IGN).

Le 28 mai 1781, Louis-Henri-Marie et Jules-Hercule, princes de Rohan, vendirent ce domaine à Claude Sain de Bois-le-Comte, seigneur d'Esvres.

Esvres sur Tourainissime

Esvres - La Chaume

Historique du nom: La Chaume (1340, Archives 37, H, Cormery), La Chaume (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Chaume (1820, Carte de l'état-major), La Chaume (1823, Cadastre), La Chaume (1935, Cadastre), La Chaume (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait de Taffonneau. Vers 1340, Alix, veuve de Philippon Boisson, vendit ce domaine à Jean de Brion, chevalier, pour 36 livres 10 sols. Par la suite, La Chaume fut possédée par les seigneurs de Taffonneau.

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