Historique du nom: Gasteau
(1482, 1484, 1554, Bibliothèque nationale), Le Gasteau (1485, Archives nationales, P12-433-437), La métairie du Gasteau (1591, acte Bonyn/Chinon), Le
Gasteau (1595, Archives 37, C601), Le Gasteau (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de
Chinon), Gasteau (1683, Archives 37, E146), Le Gateau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Gâteau (1832, 1969, Cadastre), Le Gâteau (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de Cravant, à
foi et hommage lige. En 1639, il avait un revenu annuel de 50 livres.
En 1482, il appartenait à Marc de Coutances,
écuyer; en 1484, à Pierre du Puy, dit de Bascher, écuyer d'écurie
ordinaire, qui rendit hommage le 19 septembre 1485 pour sa terre de
Gasteau; en 1554, à Charles Drouin; en 1681, à Charlotte Proust, veuve
de Henri-François d'Espinay; en 1681, à Catherine d'Espinay, femme non commune en bien de René de la Fontaine de Follin, qui rendit foi et hommage à Cravant le 12 mars 1683.
En 1769, les héritier d’Étienne Coulon du Sauleau vendirent Le Gâteau à René Néron, prêtre. En 1824, Le Gâteau était scindé en deux parties. L'une appartenait à Jean Jahan et Jeanne Desbourdes, sa femme, cultivateurs, et l'autre à Pierre Maurice, épicier à Chinon. Son unité se trouva reconstituée, en 1904, entre les mains de Louis Moron qui le vendit en 1933. Le fils de l'acquéreur d'alors le revendit le 9 novembre 1977 en se réservant le droit d'usage et son habitation personnelle.
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