Historique du nom: La Chevellière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Langeais), La Chevechère (1644, acte Tallecourt/Langeais), La Chevechère (1672, 1674, actes
Briault/Mazières-de-Touraine), La Chevechère (1674, acte Bruslon/Cinq-Mars-la-Pile), La Chevechère (1700, acte
Roussereau/Fondettes), La Chevechère (1703, acte Feau/Cinq-Mars-la-Pile), La Chevechère (1729, acte Pays/Cinq-Mars-la-Pile), La Chevechère (1745, acte Pays/Cinq-Mars-la-Pile), La Chevechère (1750, acte Fortin/Langeais), La Chevechère (1753, acte Castel/Luynes), La Chauvechère (1761, acte Douault/Langeais), La Chevechère (1769, acte Perier/Cinq-Mars-la-Pile), La Chevechère (1774, acte Martigné/Le Mans), La
Chevechère (1782, acte Perier/Luynes), La Chevechère (1809, acte Deteure/Langeais), La Chevechère (1829, Cadastre). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre et la carte IGN.
Ce fief, sans justice, relevait de la châtellenie des Écluses, à foi et hommage lige. Jean-Éléonor de Petit-Jean, chevalier, le possédait vers 1740. Son fils, Jean-Louis-Abel de Petit-Jean, seigneur de Lignières, rendit aveu, le 3 juillet 1751 et le 28 juin 1753, pour ce fief qui passa ensuite à Jean-Paul-Louis Courier, bourgeois de Tours, père du pamphlétaire Paul-Louis Courier (1775). En 1782, Alexis-Auguste Dubeau était propriétaire de ce fief. En 1829, les bâtiments étaient en ruines.
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