Historique du nom: La Trigallière (1676, acte Durousseau/Luynes), La Tergallière (1683, acte Bordier/Fondettes), La Trigallière (1695, acte Leperlier/Pernay), La Trigallière (1713, acte Tessier/Cinq-Mars-la-Pile), La Trigallière (1755, acte Delacour/Luynes), La Trigallière (1777, acte Chesneau/Luynes), La Trigallière (1779, acte Chesneau/Luynes), La Trigalliere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Trigalière (1810, Cadastre G6), La Trigalière (1820, Carte de l'état-major), La Trigalière-Cottage (1936, Cadastre G4), La Trigalière (2013, Carte IGN).
Le cottage a été construit, au XIXe siècle, par le baron de Champchevrier. Il y existe une chapelle.
En 1890, ce domaine appartenait à Ernest Jacques Gaston Duboys qui décéda le 18 novembre 1900 à La Trigalière et fut inhumé dans la chapelle du lieu. En 1847, La Trigalière fut achetée par Édouard Meauzé, négociant à Tours. Au décès de celui-ci, en 1876, sa fille unique, Juliette Émilie, hérita de la propriété mais elle mourut à Paris, en 1880, âgée de 39 ans. Son mari, Gaston Duboys-d'Angers, devint alors le propriétaire du domaine.
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