Autrèche - Fontaine-les-Blanches

Ce lieu a porté les noms de: Locus Fontanarum quem indigeni Allodia vocant (1127, Archives 37, Charte de Fontaines), Fontanae seu Allodium (vers 1150), Ecclesia de Fontanis, abbatia quae vocatur Fontanae (1162, Bulles du pape Alexandre III), Fontanae albae (1186, Charte de Thibault, comte de Blois), Fontaines-des-Blanches (Carte de l'état-major), Fontaine-les-Blanches (2013, Carte IGN).
L'endroit où fut fondée l'abbaye de Fontaines-les-Blanches se nommait primitivement l'Alleu ou les Alleux. Péregrin nous apprend que ce lieu était couvert de bois et que l'on y courait de grands dangers, parce qu'il était fréquenté par des malfaiteurs. Cependant un certain nombre de pieux personnages ne craignirent pas de s'y établir pour y consacrer leur vie à Dieu, sous la direction d'un ermite nommé Geoffroy. Parmi eux se trouvait un prêtre nommé Ascelin, le chevalier Lambert, originaire de la Flandre et le fils d'un autre chevalier, seigneur du Coudray, en Touraine. Pour célébrer le service divin, ils construisirent à Pont-Rune, appelé aujourd'hui Pont-de-Fontaine, une chapelle en bois qu'ils placèrent sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine.
Vers 1125, Renaud d'Aucher, Hugues Villain, Hilduin de Conan, Renaud de Châteaurenault et Ganilon de Beaugency donnèrent aux religieux les terrains sur lesquels ils s'étaient établis. Renaud de Châteaurenault, seigneur suzerain de cette contrée, leur concéda, en même temps, le droit de justice et le droit de chasse. De plus, il les autorisa à prendre dans la forêt de Blemars tout le bois qui leur serait nécessaire et à y recueillir des glands pour leurs porcs. Ces donations et concessions furent approuvées par Hildebert, archevêque de Tours, en 1127. et par Thibault, comte de Blois, en 1131.
Un peu plus tard, la division se mit parmi les religieux qui se partagèrent en 2 camps. Les uns manifestaient le désir de faire partie de quelque ordre régulier, tels que ceux de Saint-Benoît et de Cîteaux, tandis que les autres, satisfaits de leur situation, voulaient qu'aucun changement n'y fut apporté. Consulté à ce sujet, Geoffroy, chef de la maison, déclara qu'il laissait chacun de ses frères libres d'agir comme il l'entendrait, se réservant de prendre lui-même, en ce qui le concernait, tel parti qu'il jugerait convenable. En même temps, il autorisa les partisans de l'affiliation à un autre ordre à faire des démarches près de l'abbé de Savigny, en Normandie, dans le but de se placer sous la dépendance de ce monastère, qui suivait le règle de Cîteaux.
L'abbé de Savigny accueillit avec empressement les députés qui lui furent envoyés. Se rendant à leur vœu, il vint en novembre 1134 à Fontaines-les-Blanches, accompagné d'Hildebert, archevêque de Tours, et, d'accord avec ce prélat et avec 12 religieux, il décida que ce lieu serait désormais une abbaye. Odon, moine de Savigny, fut nommé abbé du nouveau monastère et reçut la consécration de l'archevêque Hildebert.
Geoffroy, le prêtre Ascelin et plusieurs autres membres de l'ancienne communauté refusèrent de faire partie de la nouvelle congrégation. Ils quittèrent l'abbaye et se dispersèrent dans les environs. Geoffroy mourut peu de temps après au château de Montrichard. Son corps, rapporté à Fontaines-les-Blanches, fut inhumé dans le cimetière des religieux.
Vers 1150, l'abbaye de Savigny, ayant adopté la réforme de saint Bernard, abbé de Clervaux, les moines de Fontaines suivirent cet exemple. A la même époque, leur église, qui jusque-là avait été sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine, fut dédiée à la sainte Vierge.
A son origine, le monastère n'eut que de très modestes possessions à peine suffisantes à subvenir aux besoins de religieux. Mais bientôt sa situation s'améliora, grâce à la générosité des plus puissants personnages du pays et des environs, qui lui firent des dons importants consistant en rentes, en dîmes et en métairies. Une bulle du pape Alexandre III, en date du 11 novembre 1162, nous fait connaître les principales possessions de l'abbaye à cette époque. Plus tard, une déclaration faite le 2 février 1547, indiquait les domaines que l'abbaye possédait, à cette époque, dans le bailliage de Touraine, à savoir, en dehors du monastère lui-même et de ses alentours: une métairie appelée Beaubeuf à Saint-Ouen-les-Vignes; 3 métairies dites Foucillon, Maupou et Champ-de-Faim à Autrèche; une pièce de bois taillis appelé Le Breuil et la garenne de La Calounnière à Autrèche; une pièce de bois taillis appelée les tailles de La Noue-Sèche à Autrèche, une métairie appelée Le Grand-Prinsay à Autrèche; une métairie appelée Bichemorte à Montreuil; une pièce de bois taillis appelée Les Neuf-Frères; une métairie appelée Villepain à Montreuil; 2 métairies dites La Templerie et Vauvert-le-Poilleux, à Jussay, près d'Herbault; 5 quartiers situés au clos de Vauvert près de Fontaines; une pièce de vigne située au clos de Larrable, à Saint-Ouen-les-Vignes; 2 moulins sur la Brenne, à Neuillé-le-Lierre, Le Grand-Villiers et Pomigny.
Grâce à ce dernier document, on sait que l'abbaye, au XVIe siècle, possédait 1.106 arpents de terrain dans le seul bailliage de Touraine, sans compter les près et terres dépendant des moulins de Villiers et de Pomigny.
Aux possessions énumérées ci-dessus, il faut encore ajouter les propriétés suivantes, mentionnées dans des titres des XVIIe et XVIIIe siècles:
Le moulin de Limeray et une borderie située dans cette paroisse; les métairies de Rougeriou, de La Gimarderie, la closerie des Genièvres, paroisse de Saint-Ouen; les métairies de La Poifilerie, du Hallier, de La Brunetière et de La Feraudière, paroisse d'Autrèche; la métairie de Villemalsin, paroisse de Crucheré; La Moinerie, paroisse de Périgny; La Fourellerie, La Jousserie, le moulin de Villagon, paroisse de Montreuil; Menard, paroisse de Pocé; les métairies de Pomigny et de Brouard, paroisse de Neuillé-le-Lierre; La Louestière, paroisse de Morand; La Moinerie, paroisse de Veuves; La beraudière, paroisse de Pocé; La Moinerie, paroisse de Saint-Aubin-des-Landes.
L'abbaye eut, dès son origine, tous les droits de haute, moyenne et basse justice attachés au titre de châtellenie. Ces droits, concédés par Renaud de Chateaurenault, en août 1127, furent confirmés par une charte de Thibault, comte de Blois, en 1131, et par une autre charte de 1186. Pour le temporel, le monastère relevait des châteaux d'Amboise et de Château-Renault.
On comptait 3 chapelles dans l'église abbatiale: l'une dédiée à saint Hubert, l'autre à sainte Madeleine, la troisième appelée Chapelle des Infirmes, placée sous le vocable de saint Michel-Archange. Cette dernière avait été fondée par les seigneurs d'Amboise. Mathilde de Vendôme, femme de Hugues II, seigneur d'Amboise, décédée en janvier 1201, y fut inhumée. Élisabeth, sœur de Sulpice d'Amboise et femme d'Ulgrain Taillefer, comte d'Angoulême, y eut aussi sa sépulture vers 1210.
Parmi les autres personnages qui furent inhumés dans cette église, on remarque Agnès, femme de Jean, seigneur de Montoire, décédée en 1202; Barthélemy II, archevêque de Tours, mort le 15 octobre 1206, N. Chauvin, seigneur de Pocé (1508). Adrien Tiercelin de Brosses, chambellan du roi, décédé à Blois en 1548, et Robert de Passac, chevalier, seigneur de Grosbois (1630).
Le tombeau de N. Chauvin, placé sous une arcade était surmonté d'une statue  représentant le défunt, armé de toutes pièces. Sur une plaque de marbre, on lisait l'inscription suivante:
Cy gist
N. Chauvin, en son vivant chevalier,
Seigneur de Pocé,
Écuyer de l'écurie ordinaire du roy
nostre Syre, qui Trespassa le XXIV du
mois d'août 1508.
Priez Dieu pour son ame.
Amen.
A la fin du XVIIIe siècle, on voyait d'autres monuments funèbres élevés à la mémoire de plusieurs abbés de Fontaines-les-Blanches. Ces monuments ont été totalement détruits à l'époque de la Révolution.
Les bâtiments claustraux et l'église furent vendus comme biens nationaux, le 17 décembre 1791, pour 22.600 livres.
L'abbaye de Fontaines-les-Blanches portait pour armoiries: De gueules à 3 pals de vair; au chef d'or.
Les abbés de Fontaines-les-Blanches furent:
  1. Odon, religieux de Savigny, nommé abbé des Fontaines en 1134, mourut en 1145 et fut inhumé dans le Chapitre, devant le siège de l'abbé. Pendant son administration, le domaine de Gié, paroisse de Santenay, fut donné au monastère par Thibault, comte de Blois.
  2. Gilbert, élu abbé en 1145, résigna ses fonctions 3 ans après et se retira à l'abbaye de Savigny.
  3. Thibault, religieux de Clervaux, succéda à Gilbert à la fin de l'année 1148. Il reçut, comme novice, Péregrin qui plus tard devait devenir lui-même abbé de Fontaines et écrivit quelques pages de l'histoire de ce monastère. En 1170, ses infirmités le contraignirent de donner sa démission. Il se retira à Clervaux. Puis étant venu à Châteaudun, sur la prière d'Alice, femme de Thibault, comte de Blois, il mourut dans cette ville. Son corps, transporté à Fontaines-les-Blanches, fut inhumé dans le cloître.
  4. Herbert, originaire de Vouvray-sur-le-Loir, prieur de l'abbaye de Clermont, fut élu abbé de Fontaines en 1170. Démissionnaire en 1173, il se retira à Clermont et fut appelé à l'évêché de Rennes en 1184. Il mourut le 10 décembre 1198 et eut sa sépulture dans le chœur de sa cathédrale.
  5. Robert, prieur de Fontaines, fut élu abbé, en remplacement d'Herbert; mais l'abbé de Savigny ayant refusé de ratifier cette élection, le choix se porta sur un moine de Savigny, nommé Alexandre, originaire d'Angleterre. Après avoir administré l'abbaye pendant un an et demi, Alexandre résigna ses fonctions et continua cependant de résider à Fontaines. Il mourut en 1178 et fut inhumé dans l'église abbatiale.
  6. Robert, élu abbé, pour la seconde fois, en 1175, est cité dans une charte de Geoffroy de Brenne, seigneur des Roches, concernant une donation faite par l'abbaye de Fontaines à Guichard, prévôt de Pocé. Il mourut en juin 1188 et fut inhumé dans le Chapitre, près de la tombe d'Odon, premier abbé.
  7. Péregrin, prieur de Fontaines, fut élu abbé le 29 juin 1188. Il était originaire de Vendôme. On lui doit une intéressante histoire de son abbaye, qu'il a écrite, comme il le dit lui-même, en l'an 1200. Cette histoire a été publiée, en 1854, par André Salmon, dans les Mémoires de la Société archéologique de Touraine. Décédé en 1211, il eut sa sépulture dans le Chapitre. En 1197, le monastère avait reçu un singulier présent de Bouchard, comte de Vendôme. Le comte avait donné aux religieux, pour le repos de son âme, un bourgeois de Vendôme, exempt de toute coutume, pour tout le temps qu'il voudrait rester soumis à l'autorité de l'abbaye. Ce bourgeois, nommé Herbert, était le frère de Péregrin.
  8. Aelerme, successeur de Péregrin, est cité dans une charte de 1211. Il vivait encore en 1214. Pendant l'administration de cet abbé, Jean, archevêque de Tours, confirma une donation faite aux religieux de Fontaines, par Sulpice d'Amboise, du consentement d’Élisabeth, sa femme et de Mathilde, sa fille.
  9. Nicolas, élu abbé en 1216, était originaire du Vendômois.
  10. Luc, cité dans une charte de 1221, mourut vers 1227.
  11. P... est désigné par cette initiale dans une charte de 1228.
  12. Simon, en juillet 1245, vendit à l'abbaye de la Clarté-Dieu, pour la somme de 100 livres tournois, des terrains situés dans la paroisse de Brèche, une rente à percevoir dans la paroisse de Saint-Paterne, 2 arpents de terre, une dîme perçue à Marçon et une rente à prendre dans la paroisse de Brain.
  13. Guillaume, élu après Simon, est mentionné dans une charte de 1250. Il mourut vers 1253 et eut sa sépulture dans le Chapitre.
  14. Thierry, abbé en 1254, mourut vers 1262.
  15. Robert, 1263.
  16. N... mort vers 1280.
  17. Michel, 1287.
  18. Guillaume, élu vers 1297, mourut en 1308 et eut sa sépulture dans le Chapitre.
  19. Thomas est cité dans des chartes de 1313, 1337, 1338.
  20. Guillaume Biard, 1339, 1345.
  21. Richard, dit Hélie, élu vers 1347, mourut en 1354.
  22. Thomas de Cortmolan, élu en 1355, donna sa démission en 1360 et mourut le 15 juillet 1371. Il fut inhumé dans l'église abbatiale.
  23. Jean du Pont est cité dans des chartes de 1360 et 1366. Il donna sa démission vers 1367 et se retira à l'abbaye de Vaux-de-Cernay, où il mourut peu de temps après. On l'inhuma dans l'église abbatiale. La pierre qui recouvrait son tombeau fut retrouvée à Vieille-Église, à plusieurs kilomètres de l'abbaye de Vaux. On en avait fait un âtre de cheminée. Elle portait encore ce reste d'inscription: ... JACET DOMINUS JOHANNES... QUONDAM ABBAS DE FONTANIS IN TURONIA, REQUIESCAT...
  24. Guillaume Le Lait, 1371, mourut le 10 juillet 1383.
  25. Jean Coquau, ou Quocuau, originaire d'Amboise, élu en 1383, mourut le 25 novembre 1421. Son nom est écrit Quocuau dans une quittance du 1er février 1400.
  26. Jean Thorodes, né à Orléans, fut élu abbé en janvier 1422. Décédé le 20 juin 1427, il fut inhumé dans l'église de Fontaines-les-Blanches.
  27. Jean Chaillou, élu en août 1427, fut sacré le 25 novembre suivant dans l'église des Cordeliers de Tours. Il mourut le 10 juillet 1455.
  28. Mathurin, ou Mathieu Fremin, élu le 19 juillet 1455, fit réparer l'église abbatiale et les bâtiments claustraux en 1470. Il donna sa démission en 1478.
  29. Thomas Leveau, 1478, mort le 6 février 1504.
  30. Jean Clocque, élu le 8 février 1504, vit son élection contestée par Gilles Belon, abbé de Savigny, qui prétendait faire revivre les droits de suprématie que ce monastère avait eu jadis sur l'abbaye de Fontaines-les-Blanches. L'affaire portée devant le bailli de Touraine, se termina par un jugement rendu en faveur de Jean Clocque et fut confirmé par une sentence du Parlement. Cet abbé mourut le 8 décembre 1517.
  31. Jacques Poelon, élu le 29 décembre 1517, fut autorisé, par le pape, à faire usage des insignes épiscopaux. Il mourut en 1534.
  32. Nicolas Chauvin, protonotaire apostolique, premier abbé commendataire de Fontaines-les-Blanches, mourut en 1549.
  33. Charles Tiercelin de Brosses, 1550. Il était fils d'Adrien Tiercelin, chevalier, seigneur de Brosses et de Sarcus, chambellan du roi et chevalier de ses ordres, sénéchal de Ponthieu, capitaine-gouverneur du château de Loches, décédé à Blois, en 1548, et de Jeanne de Gourlay.
  34. Antoine Tiercelin de Brosses, décédé en 1590. Il était fils d'Adrien Tiercelin II, seigneur de Brosses, et de Barbe Rouault de Saveuse.
  35. Antoine de Roquelaure, 1590. Destiné d'abord à l'état ecclésiastique, il adopta ensuite la profession des armes, où il se distingua. Il devint maréchal de France et mourut le 9 juin 1625. Il était fils de Geraud de Roquelaure et de Catherine de Bezolles.
  36. N. d'Avrilly, 1590-1591.
  37. Jean-Antoine de Bruyères de Chalabre, prévôt de l'église de Toulouse (1591), mourut le 29 juin 1606. Il était fils de François de Bruyères, second du nom, baron de Chalabre, et d'Anne de Joyeuse.
  38. Claude Belot, conseiller et aumônier du roi, chanoine de Notre-Dame-de-Paris, chanoine et prévôt de Saint-Martin de Tours, abbé de Fontaines-les-Blanches en 1606, donna sa démission, en 1612, en faveur de son neveu, Claude Hutel-Belot.
  39. Claude Hutel-Belot, aumônier du roi, chanoine de Paris, mourut en 1620.
  40. Jean Collon, conseiller clerc au parlement de Paris, abbé de Fontaines-les-Blanches en 1620, donna sa démission six ans après.
  41. Guillaume de Croisilles, conseiller et aumônier du roi, abbé de Fontaines-les-Blanches en 1626, donna sa démission en 1632, en faveur de son frère, Nicolas de Croisilles.
  42. Nicolas de Croisilles, conseiller et aumônier du roi, mourut en 1647.
  43. Balthazar Rousselet de Châteaurenault, fils de François Rousselet, marquis de Château-Renault, et de Louis de Compans, fut nommé abbé de Fontaines-les-Blanches en 1647, et mourut à Château-Renault le 27 avril 1712, âgé de 83  ans.
  44. Jean Taschereau de Baudrys, chanoine et cellérier de Saint-Martin de Tours, nommé abbé de Fontaines-les-Blanches le 14 mai 1712, prit possession le 13 septembre suivant. Il mourut le 10 octobre 1752, âgé de 74 ans.
  45. Louis-Antoine-François de Durfort, grand archidiacre de l'église de Tours et vicaire général de Narbonne, nommé abbé de Fontaines-les-Blanches le 29 janvier 1753, prit possession le 2 avril suivant. Il mourut le 14 octobre 1765.
  46. Jean Caulet, confesseur de feu Madame la Dauphine, nommé abbé de Fontaines-les-Blanches le premier janvier 1766, mourut en 1770.
  47. René-Louis-François-Marie de Caulaincourt, aumônier du roi, vicaire général du diocèse de Reims, fut nommé abbé de Fontaines-les-Blanches en octobre 1770. Il mourut en 1772. Il était fils de Louis-Henri, comte de Caulaincourt, et de Suzanne-Françoise-Geneviève de Bailleul de Vic.
  48. Jean-Marie Duchastel, aumônier de Madame la Dauphine, pourvu de l'abbaye de Fontaines-les-Blanches en octobre 1772, jouit de ce bénéfice jusqu'en 1790.

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