Historique du nom: Le Plessis (1639, Archives de Cheillé), Le Plessis Vanjouan (1640, Archives de Cheillé), Le Plessis Galle (1663, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis (1665, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis Galle (1680, 1684, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis (1690, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis Galle (1707, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis (1712, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis Galle (1744, 1746, 1752, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis Galles (1787, Archives d'Azay-le-Rideau), Le Plessis (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Plessis (1814, Cadastre), Le Plessis (1820, Carte de l'état-major), Le Plessis (1846, 1847, 1855, actes Robin/Tours), Le Plessis (1971, Cadastre), Le Plessis (2014, Carte IGN).
En 1639, ce domaine appartenait à René Delamotte, écuyer; en 1663, à François de La Barre (ou Delabarre), écuyer, conseiller du roi au siège royal de Chinon; en 1690, à Jean-François de La Barre, conseiller du roi au siège royal de Chinon qui décéda en août 1707; en 1712, à François de La Barre, conseiller au siège royal de Chinon, qui décéda en août de cette même année; en 1744, à Jean Dalègre, alias d’Alègre, qui fut inhumé dans l'église d'Azay-le-Rideau, au pied du crucifix, le 14 septembre 1746.
Le 17 octobre 1746, dans le chœur de l'église, fut inhumée Marthe Guetté, veuve de Jean-François de la Barre, seigneur du Plessis Galle, en présence de messieurs Dalègre, ses petits enfants, dont Antoine-Thomas, fils de Marie-Marthe de la Barre, épouse Jean Dalègre. En 1752, Le Plessis appartenait à Thomas Dalègre, fils de Jean Dalègre.
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