Historique du nom: La Barbinière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), La Barbinière (1668, Archives de Bourgueil), La Barbinière (1673, Archives de La Chapelle-sur-Loire), La Grande
Barbinière (1702, acte Bruslon/Langeais), La Barbinière (1736, Archives de La Chapelle-sur-Loire), La Barbinière (XVIIIe siècle, Archives 37, Chapitre Saint-Martin de Tours), La Barbinière (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Barbinière (1820, Carte de l'état-major), La Barbinière (1829, Cadastre), La Barbinière (1933, Cadastre), La Barbinière (2016, Carte IGN)
Ce fief, valant 60 sols en 1639, a appartenu, en 1668, à René Boureau; en 1736, Jean-François Nouchet, seigneur de La Barbinière, conseiller du Roi, receveur au Grenier à sel de Langeais. Il fut vendu, comme bien national, en 1793, sur Fortuné Guillou, marquis de Rochecotte, émigré. Il y avait une chapelle placée sous le vocable de Saint-Antoine qui appartenait à la collégiale Saint-Martin de Tours.
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