Historique du nom: La Besnardière (1652 et 1677, Archives de Saint-Avertin), La Benardière (1678, Archives de Saint-Avertin), La Besnardière (1685, 1726, Archives de Saint-Avertin), La Benardière (1749, acte Ridet/Tours), La Besnardière (1774, acte Gervaize/Tours), La Bernardière (1780, Archives de Saint-Avertin), La Bernardière (1791, Archives 37, Biens nationaux), La Besnardière (1820, Carte de l'état-major), La Besnardière (1822, Cadastre), La Besnardière (1829, acte Chotard/Joué-lès-Tours), La Besnardière (1852, Archives 37, 3U, Tribunal de Tours), Les Besnardières (1960, Cadastre), La Besnardière (2014, Carte IGN).
En 1652, ce domaine appartenait à Denis Bourgault, habitant Tours; en 1677, à Mathurin Durand, maître chirurgien. Au début du XVIIIe siècle, Michel Mercier, notaire à Saint-Domingue, le légua aux Jacobins de Tours qui, en 1780, y employaient un fermier, François Touché. En 1791, ce domaine fut vendu, comme bien national, pour 15.300 livres. Le 13 décembre 1829, Jacques
Grognard, tailleur, l’acheta aux héritiers de Véronique Touché, épouse
Martin-Pierre Bruzeau.
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