Historique du nom: Chantoiseau (1469), Champdoiseau (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle
de Montrichard), Chandoiseau (1719, Archives 37, C603), Champ Doiseau (1746, Archives 37, C603), Chandoiseau (1767, Archives 37, E26), Chandoiseau (vers 1775, Archives 37, A7), Champ d’Oiseau (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Chant d'Oiseau (1820, Carte de l'état-major), Chant d’Oiseau (1826, Cadastre), Chant d’Oiseau (1937, Cadastre), Chant d'Oiseau (2014, Carte IGN).
Ce fief, valant 40 livres en 1639, relevait d'Amboise, à foi et hommage lige et, pour une partie, de Montrichard. Il appartenait, en 1469, à Colas Fumelle, écuyer; en 1477, à Guillaume Fumelle, écuyer; en 1498, à Aymar de Prie.
Une partie du domaine était possédée: en 1523, par Claude de Troyes, écuyer; en 1527, par Anne Falaiseau, veuve de Claude de Troyes; en 1533, par Nicole de Troyes.
La portion principale du domaine, dont Aymar de Prie était propriétaire en 1498, passa ensuite à Edme de Prie, seigneur de Montpoupon (1530).
Vers 1650, Henri de Saint-André était seigneur de Champ-d'Oiseau. Après lui, on trouve: en 1682-1704, François Dangé et sa femme, Louise de Prie, veuve de Philippe de la Mothe-Houdancourt, maréchal de France (Il rendit aveu pour ce fief le 16 avril 1704); en 1719, Marie-Gabrielle-Angélique de la Mothe-Houdancourt, veuve de Henri-François, duc de la Ferté-Saint-Nectaire; en 1728, Charlotte de la Ferté, veuve du marquis de la Ferté; en 1746, Philippe-Louis Thibault, marquis de la Ferté-Saint-Nectaire; en 1785, Nicolas-Marie de Tristan, chevalier de Saint-Louis.
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