Historique du nom: Pinperdu (1631, Archives d’Avoine), Painperdu (1624, Archives de Beaumont-en-Véron), Painperdu (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Pimperdu (1650, 1671, Archives de Beaumont-en-Veron), Painperdu (1696, Archives de Beaumont-en-Véron), Hostel de Painperdu (1699, Archives 37, E163, E165), Pinperdu (1702, Archives de Beaumont-en-Véron), Painperdu (1784, Archives de Beaumont-en-Véron), Les Pains Perdus (1837, acte Rossignol/Chinon). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1955 et la carte IGN de 2013.
Ce fief, valant 39 livres 15 sols en 1639, relevait de Beaumont-en-Véron, à foi et hommage simple. Vers 1398, il appartenait à Laurent Cerné, écuyer; en 1542, à Jean-Baptiste-Mathurin Cerné; en 1631, à Georges Aubineau, conseiller du roi, élu en l’élection de Chinon; en 1689, à Anne Lebreton, veuve de Gabriel Jouslain, procureur au grenier à sel de Chinon; en 1696, à Pierre Jouslain, conseiller du Roi et son lieutenant en l’élection de Chinon; en 1743, à Jean Jouslain, sénéchal de la châtellenie du Plessis-aux-Moines; en 1784, à Jean-Chrysostome-François-Pierre Jouslain, prêtre, chanoine théologal du chapitre royal de Saint-Mexme de Chinon. En 1703, le prieuré de Beaumont possédait 30 arpents de terre situés à Painperdu.
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