Tours - Le Mortier

Historique du nom: Mortarium (908), Mortarium Duno (991, Dom Housseau), Mortarium (992, Dom Housseau), Le  Mortier (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Tours), Le Mortier (XVIIe, XVIIIe siècles, Archives 37, E224), Le Montier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Mortier (1811, Cadastre de Saint-Symphorien), Le Mortier (1820, Carte de l'état-major), Le Mortier (1857, acte Duvigneaux/Tours), Le Mortier (1860, acte Robin/Tours), Le Mortier (1934, acte Revel/Paris), Le Mortier (2014, Carte IGN).

Ce fief relevait de l'abbaye de Marmoutier, à foi et hommage simple. En 991, Bernier, abbé de Marmoutier, le vendit à Archambaud de Sully, archevêque de Tours. Par la suite, ce domaine passa à des laïcs. En 1266, il appartenait à Pierre de Pontlevoy; en 1472, à Jacques d'Argouges, bourgeois de Tours, qui rendit aveu le 21 juin; en 1477, à Philippon Quertier; en 1500, à Guillaume Quertier; en 1543, à Gatien Barguin; en 1593, à Jeanne Cailloué; en 1764, François Delavau; en 1789, à Bernard Abraham.

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