Historique du nom: Rongi (début XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, Livre de Eschequeste), Dominus de Brueil Doré, pro feodo de Rengi (1364, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 6), Rengi (1335, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 158), Rangé (vers 1363, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 174), Rengi (1364, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 6), Rongi (XIVe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 302), Rangé (1641, Archives 37, H864), Rangé (1694, Archives 37, H862), Rangé (1722, acte Robin/Loches), Rangee (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Rangé (1795, Archives 37, 1Q229, Biens nationaux), Les Rangés (1813, Cadastre), Les Rangés (1820, Carte de l'état-major), Rangé (1938, Cadastre), Ranger (2013, Carte IGN). Ce lieu à fait partie de l'ancienne paroisse Saint-Martin-de-Cerçay.
Ce fief relevait de l'archevêque de Tours, à foi et hommage lige, un cierge et 50 sols de service. Le jour de l'installation de l'archevêque, le propriétaire de ce fief devait garder la porte du palais et offrir de l'eau au prélat. Il gardait pour lui l'aiguière dont il avait fait usage. Vers 1340, ce fief appartenait à Renaud de Pressigny; en 1363, à Godemar de Linières; en 1694, César-François de la Borde, chevalier; en 1689, à N. de Grasleul.
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