Historique du nom: Runceium (XIIe siècle), Roncée Négron (XIIe siècle), Roncée (1541, Archives 37, C600, aveu de François d’Availloles), Ronsée du Pont (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Roncé (1654, Archives nationales, Y191/2982), Roncée (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Roncé (1796, Archives 37, 1Q453, Biens nationaux), Roncé (1820, Carte de l'état-major), Roncé (1831, 1967, Cadastre), Roncé (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la châtellenie de L'Île-Bouchard. En 1486, il appartenait à Jean d'Availloles; en 1529, à Hector d'Availloles; en 1536, à François d'Availloles qui rendit aveu le 3 juin.
Claude de Barjot de Roncé, écuyer, devint seigneur de Roncé par son mariage avec Anne d'Availloles. Il eut pour successeurs: Léonard Barjot de Moussy (1637); René Barjot (1694); René Barjot, marié à Louise de Johanne de la Carre de Saumery.
Alexis Barjot de Roncée, fils de René, mourut le 8 mars 1763. En janvier 1726, il avait épousé Geneviève-Alphonsine Borderiede Vernejoux, dont il eut: Paul-Jean-Baptiste-Alexis, qui suit; Geneviève-Alphonsine, mariée, le 16 août 1747, à Armand-François, comte de Durfort-Boissières; Louise-Renée, mariée en septembre 1749, à Jean-Baptiste Savary, marquis de Lancosme, et décédée le 16 mai 1765; Marguerite-Charlotte, qui épousa, le 3 juin 1750, Jean-Nicolas de Johanne de la Carre de Saumery.
Paul-Jean-Baptiste-Alexis Barjot, seigneur de Roncée, sous-lieutenant de gendarmerie, épousa, en 1751, Adélaïde-Julie-Sophie Hurault de Vibraye, dont il eut: Marie-Joséphine-Caroline, née le 22 décembre 1759, mariée le 28 novembre 1779, à Jean-Louis-Marie Le Bascle d'Argenteuil. Elle eut en dot les terres de Roncé et d'Avon.
Jean-Louis-Marie Le Bascle d'Argenteuil, chevalier, seigneur de Roncée, maître de camp de cavalerie, lieutenant-général, en survivance, des provinces de Champagne et de Brie, comparut, par fondé de pouvoir, en 1789, à l'assemblée de la noblesse de Touraine.
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