Historique du nom: Terzaium (1200, Charte de l’abbaye de Beaumont-lès-Tours), Trisay (après 1370, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 202), Trizay (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montbazon), Trizay (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Trisay (1794, Archives 37, 1Q365, Biens nationaux), Le Grand Trizay (1823, acte Guierche/Joué-lès-Tours), Trizay (1820, Carte de l'état-major), Trizay (1823, Cadastre), Le Grand Trizay (1850, acte Chotard/Joué-lès-Tours), Le Grand Trizay (1966, Cadastre AX), Grand Trizay (2014, Carte IGN).
En 1281, ce fief appartenait à Hardouin de Maillé, chevalier; en 1459, à Jean Berruyer, écuyer; en 1488, à Hélie Berruyer; en 1582, à Pierre Coheu, nommé maire de Tours en 1583; en 1648, à Nicolas Bourru; en 1696, à Philippe Proux, docteur en médecine; en 1737, à François Belgarde; en 1778, à Jacques des Essarts, commissaire général de la marine, décédé à Tours le 9 avril 1781; en 1789, à Jacques-François-Henri des Essarts, chevalier, officier au régiment de Bourbon.
Du logis seigneurial dépendait une chapelle qui est mentionnée, en 1787, dans le Registre de visite du diocèse de Tours.
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