Historique du nom: Le Puy (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Moulins du Puy (1807, acte Guiot/Noizay), Moulin du Puits (1819, Cadastre), Moulin du Puits (1820, Carte de l'état-major), Moulin du Puits (1852, DDAF-37, Bassin de la Loire, rivière de la Brenne, dossier 6, moulin 26), Le Puits (1882, acte Tardiveau/Vernou-sur-Brenne), Moulin du Puits (1954, Cadastre), Le Moulin du Puits (2014, Carte IGN).
En 1473, Charles Godeau, chanoine à Tours, conseiller du roi au Parlement
de Paris, était propriétaire du fief du Puy. Par acte du 4 novembre de cette année, il donna au curé de Reugny la dîme qu'il possédait dans cette paroisse et sur la métairie de La Barre, à condition qu'un service serait célébré tous les ans, le jour de la saint Martin d'été, pour le repos des âmes de ses père et mère et amis trépassés.
En 1501, ce fief appartenait à Jean Godeau; en 1513, à Corneille Beaufils; de 1515 à 1535, à Florentine Papillon, veuve du précédent; en 1539 à 1545, à Jean Bernard, receveur des tailles à Amboise, et Marie Beaufils; en 1561, à Laurent le Blanc, seigneur de La Vallière.
Jusqu'en 1872, le moulin dépend de La Vallière. Ensuite, il fut acheté par M.
Lecomte-Hogou qui le revendit à M. Lefèvre, propriétaire du château de
Valmer. En 1807, il y avait un moulin à blé et un moulin à foulon.
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