Historique du nom: L’Aubraie (1663, Archives 37, H517), L’Aubraye (1744, acte
Carreau/Tours), L’Aubraie (1765, acte Mahiet/Joué-lès-Tours), Laubraie (XVIIIe siècle, Archives 37, C336,
652), Laubraie (1820, Carte de l'état-Major), Laubraye (1823, Cadastre), L’Aubraye (1965, Cadastre), L'Aubraye (2014, Carte IGN).
Ce fief appartenait à l'abbaye Saint-Julien de Tours dès 1282, dépendait de l'hôtellerie et de la prévôté de ce monastère, et relevait du château de Tours. Au XVe siècle, Hugues d'Artannes possédait des terres dépendant de ce fief, et sur lesquelles il assigna, au profit des religieux de Saint-Julien, une rente pour son anniversaire.
Relevaient censivement de L'Aubraye les métairies et closerie du Verger (déclaration féodale du 1er juillet 1716); du Chesneau (déclaration féodale du 11 décembre 1715, par François Cougny, sieur du Parc); de Romean, de La Rouillère (déclaration féodale du 28 août 1715, par François Niquet); de La Buffeterie (déclaration féodale du 28 juin 1715, par Madeleine Roux, veuve de Toussaint du Perray); de La Gagneraie, de Puy-Tessier, des Touches, Fontaine-Piard, Bois-Bachelier, de L'Aître-André-Meschin (déclaration de 1715); du Fourneau, de La Guiotière, de La Cintrie (déclaration féodale de 1715, par Jacques Perrot, écuyer, seigneur du Fourneau); du Petit-Breuil, de L'Héreau-Bourcier, etc...
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