Historique du nom: Villa Braica (819, testament d’Haganon), Bray (1536, Archives 37), Bray (1740, 1759, Archives d’Amboise, Saint-Florentin), Bray (1767, acte Bellin/Amboise), Bray (vers 1775, Archives 37), Bray (1780, Archives 37), Bré (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Bray (1820, Carte de l'état-major), Bray (1824, Cadastre), Bray (1952, Cadastre), Bray (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait d'Amboise, à foi et hommage lige, et un roussin de service. Robert de Villeblanche, écuyer, vivant en 1399, en est le premier seigneur connu. Sa veuve, Marie de Saint-Père, est qualifiée de dame de Bray dans un acte de 1431. Alexis d’Erian, écuyer, devint seigneur du même fief, par son mariage avec Jeanne de Villeblanche, fille de Robert de Villeblanche (1438). Après lui, on trouve: Raoulin Le Boucher,écuyer, mentionné dans un titre de 1461; Nicolas de Bonnigale, apothicaire du feu roi Charles VIII (1517); Charles de Bonnigale, écuyer (1518-1523); Florimond de Bonnigale, écuyer (1535); Nicolas de Bonnigale, écuyer (1549); Jean Bouju (1577); René Sauvage, écuyer (1643); Joseph Sauvage, écuyer (1677). Il rendit hommage au château d'Amboise, le 14 novembre 1678. Par acte du 12 décembre 1678, Marie Coustely, veuve de René Sauvage, vendit le fief de Bray au suivant: Georges Guil, seigneur de Fontenay; Étienne Guillerault (1683) qui rendit hommage le 20 décembre de cette année; Pierre de Pontoise, écuyer (1696); Jacques Lorin, né en 1712, contrôleur des guerres (1740) qui était le fils de Jean-Baptise Lorin de
Blancmaison, seigneur de La Croix, avocat en parlement; Étienne-Jean-Baptiste Lorin de la Croix, avocat en parlement et au bailliage
et présidial de Tours (1751-1780).
De nos jours, il ne reste plus de bâtiments en ce lieu. En 1820, la carte de l'état-major en signale encore et le cadastre de 1824 ne mentionne plus que la présence de douves.
De nos jours, il ne reste plus de bâtiments en ce lieu. En 1820, la carte de l'état-major en signale encore et le cadastre de 1824 ne mentionne plus que la présence de douves.
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