Historique du nom: Bois Bigot (vers 1290, Cartulaire de l’archevêché de
Tours, Aveu de Jehan du Bois), Bois Bigot (fin du XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 198), Bois Bigot (1658, Archives 37, E16, acte Richer/Tours), Bois Bigot (1715, Archives 37, 2C), Bois Bigot (1768, Archives 37, 2C), B. Bigot (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Bois Bigot (XVIIIe siècle, Archives 37, G83), Bois Bigot (1795, Archives 37, Biens nationaux), Les Bois Bigots (1809, acte Archambault/Semblançay), Bigot (1820, Carte de l'état-major), Bois Bigot (1828, Cadastre), Bois Bigot (1851, acte Chambert/Tours), Bois Bigot (1896, Archives 37, plan d’Ardrée), Bois Bigot (1933, Cadastre), Bois Bigot (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait de l'archevêché de Tours. Vers 1290, il appartenait à Pierre Bouguères; en 1658, à Joseph et Hardouin de Coutances; en 1715, à Louis Chenard; en 1768, à Anne-Geneviève Chenard et Antoinette Chenard, de Paris. En l'an III, il fut vendu, comme bien national, sur Adélaïde-Jacquette Robin, veuve de Grégoire de Riquetti de Mirabeau.
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