Historique du nom: La Chevallerie (1536, Archives 37, C634), La Chevalleraye (1577, Archives 37, C555, C559), La Chevallerie (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montrichard), La Chevallerye (vers 1740, Archives 37, C633, état du domaine d’Amboise), La Chevalerie (1766, acte Bellin/Amboise), La Chevalerie (vers 1775, Archives 37, A7), La Chevallerie (1766, acte Bellin/Amboise), Chevallerie Couezeau (XVIIIe siècle, Archives 37, C633, C651), La Chevaletrie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Chevalerie (1799,
Archives 37, 1Q471, Biens nationaux), La Chevalerie (1820, Carte de l'état-major), La Chevalerie (1824, Cadastre), La Chevalerie (1952, Cadastre), La Chevalerie (2014, Carte IGN).
Ce fief, valant 100 sols en 1639, relevait d'Amboise, à foi et hommage lige. En 1523, il appartenait à René et François Sauvage, ce dernier, contrôleur de l'argenterie du roi, seigneur des Vieilles-Cartes et de La Pinsonnière; en 1548, à Paul Sauvage; en 1560, à François Sauvage; en 1595, à Michel de Clermont; en 1677, à un autre Michel de Clermont; en 1683, à Charles de Clermont, fils du précédent, qui rendit aveu au roi le 18 août de cette année; en 1715, à Jean-Armand de Cullon de Brandy, aide de
camp des armées du roi, marié à Marguerite de Sallier, dame de Lauconnière; en 1743, à Louis de Cullon. Le 24 prairial an VII (12 juin 1799), ce domaine fut vendu, comme bien national, sur Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, veuve de Philippe d'Orléans.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire