Historique du nom: La Trumellière (1495, Archives nationales, JJ226B/1145/216), La Tournelière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Ligueil), La Turmellière, La Tourmellière (XVIIe siècle, Archives 37, E71, E1081), La Turmellière (1752, Archives 37, E71), La Turmellière (1765, Carte de Cassini), La Turmellière (1794, Archives 37, 1Q223/182-183, Biens nationaux), La Tourmellière (1820, Carte de l'état-major), La Tourmellière (1832, 1950, Cadastre C2), Château de La Tourmellière (2013, Carte IGN).
Ce fief, ayant un revenu annuel de 40 livres en 1639, relevait de la baronnie de Ligueil. En 1468, il appartenait à Guillaume Bron, archer de la garde du corps du roi; en 1580, à André le Noir, écuyer, marié à Marguerite Grapignard; en 1600, à Gilbert Seguin, lieutenant du bailli de Touraine, à Loches; en 1631, à Jean Morin; en 1671, à Bernard de Saint-Jean, baron de Pointis, lieutenant général des armées du Roi; en 1681, à Hugues de Saint-Jean, seigneur de Pointis; en 1681, à Louis Gatian, conseiller au présidial de Tours, qui le vendit, le 23 février 1715, pour 17700 livres, à Joseph Bodin, seigneur des Joubardières. Ce fief passa ensuite à Jean-Jacques Ours de Quinemont (1736); Joseph Bodin de la Joubardière (1740); Mathieu Édouard Couet, lieutenant-colonel de cavalerie au régiment de Bezons, émigré (1752). A la Révolution, le château fut saisi et vendu comme bien national.
Le château fut reconstruit au XIXe siècle par un membre de la famille Mesnet-de-la-Cour.

J ai bien connu cet endroit magique
RépondreSupprimerElle a appartenu a Madame Jolliot
Qui a eu en en héritage de
Madame claire Palissaud
Et moi je suis là belle fille de Madame Jolliot