Historique du nom: Mertier (1513, Aveu), Le Mertier (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Mertier (1820, Carte de l'état-major), Mertier (1828, acte Buzelin/Cinq-Mars-la-Pile),
Mertier (1832, 1966, Cadastre), Mertier (2013, Carte IGN).
Ce domaine relevait du fief de Loigny suivant une déclaration féodale du 9 novembre 1513. Le 14 mars 1676, le Chapitre de Loches l'aurait vendu, à réméré, aux Minimes de Saint-Grégoire de Tours et à Jean Boureau, curé de Fondettes. Mais, le 15 novembre 1687, la métairie de Mertier fut donnée à bail par Georges Garreau, sieur de La Viorne, chanoine prébendé de la collégiale de Notre-Dame de Loches. En 1729, Mertier était habité par Louis-Pierre de Tripsé de Mareuil, capitaine au régiment de Hainaut, puis commandant du bataillon de la milice du Mans. Celui-ci épousa, le 6 novembre 1725, Marthe Belotin, fille d’Étienne Belotin, fermier de la terre et seigneurie de Genillé. Elle était la tante du chanoine Belotin qui baptisa Alfred de Vigny en 1797. Louis-Pierre de Tripsé eut plusieurs enfants, tous baptisés à Genillé où il habitait en 1743. Madeleine de Tripsé se maria avec Etienne-Ours-Senoch Lesleu. Ils eurent un fils, né le 27 décembre 1777, Alexandre-Gaëtan-Senoch, qui fut désignée, en juin 1794, pour être élève à l'école militaire de Mars.
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