Historique du nom: La Borretere (début XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, Livre de Eschequeste), La Borreliere (1360, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 160), La Bourrellerie (1640, 1740, 1767, Archives 37), La Bonrelerie (1820, Carte de l'état-major), La Bourellerie (1824, Cadastre D1), La Bourellerie (1952, Cadastre C2), La Bourrellerie (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait du palais archiépiscopal de Tours. En 1640, il appartenait à Jacques de Fromont, écuyer, capitaine au régiment du Plessis-Praslin. Le 17 avril 1740, Marie-Jeanne Denis, veuve de Jean Chasteigner, le vendit à Guillaume de la Mardelle, secrétaire du roi. Il passa ensuite aux mains d'Alexis Auguste Duvau qui le vendit, en 1767, à Étienne François, duc de Choiseul.
Le 1er mars 1788, les héritiers d'Ambroise Ribot, ancien régisseur de Chanteloup, vendirent le domaine à Charles Marie Marthe Jacques Reverdy, conseiller du roi, et à son épouse Béatrix Félicité Ribot. Le 2 mai 1792, ces derniers revendirent La Bourellerie à Salvador Dubernard, négociant demeurant à Séville.
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