Historique du nom: La Borde (XVIe siècle, Dom Housseau), La Borde (XVIIIe siècle, Archives 37, E103, E104), La Borde (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Borde (1812, Cadastre d’Étableau), La Borde (1820, Carte de l'état-major), La Borde (1968, Cadastre), La Borde (2013, Carte IGN).
Ce fief, qui relevait de la baronnie du Grand-Pressigny, a fait partie de l'ancienne paroisse d’Étableau. Antoine Guenand, écuyer, en était seigneur en 1519. Il eut pour successeurs: Robert Chesneau, prêtre, 1552; Antoine François, chevalier, seigneur de La Mare, de Soubran, capitaine-gouverneur du château du Grand-Pressigny, décédé en 1589; Honorat François, chevalier, seigneur de La Gallardière, de La Pasquerie, du Portal, capitaine-gouverneur du Grand-Pressigny, 1617; Antoine François, chevalier, seigneur des Courtis, Soulanger, Bois-Florimont, 1639; César François, chevalier, seigneur des Courtis, Pouzieux, Chillay, 1663; Honorat-Jean François, chevalier, seigneur des Courtis, Plessis-Guenand, Soulanger, La Morinière, mort avant 1706; Jean François, chevalier, seigneur des Courtis, décédé vers 1720. Ce fief fut ensuite possédé, jusqu'à la Révolution, par les barons du Grand-Pressigny. Au milieu du XVIIIe siècle, il y avait, près de La Borde, une chapelle placée sous le vocable de sainte Barbe, fondée le 1er mars 1552
par Robert Chesneau, prêtre, seigneur de La Borde, curé de Bernainville,
diocèse de Chartres.
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