Historique du nom: Villa Grussio (818, Dom Martène, Thesaurus Anecdotorum), Villa Grusso (916, Dom
Bousquet, Recueil des Historiens des Gaules, charte de Saint-Martin
de Tours), Potestate de Grusciaco (943, Actes de Louis IV d’Outre-Mer), Terra de Grois (1283, Archives 37, G, Charte du Prieuré de Bois-Rahier
ou de Grandmont), Grois (1314, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 222), Groes (1336, Cartulaire de l’archevêché
de Tours, charte 207), Groys (1469, Martyrologium Sancti Juliani), Greux (1515, 1629, 1717, Archives 37, C603, E5, E65), Greux (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Greux (1813, Cadastre), Le Greux (1820, Carte de l'état-major), Greux (1861, 1863, 1864, actes Scoumanne-Tours), Greux (1963, Cadastre), Greux (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait d'Amboise. Au Xe siècle, il appartenait à l'abbaye Saint-Julien de Tours; en 1500, à Guillaume Bernard, qui une fille, Françoise, mariée à Martin Travers. Françoise Bernard vendit ce fief, par acte du 21 octobre 1517, à Philibert Babou. Plus tard, il passa à Saladin d'Anglure. Après la mort de ce dernier, il fut vendu par décret et adjugé, le 24 mars 1629, à Jeanne Hennequin, femme de Gilbert Filhet de la Curée. Par acte du 24 mai 1683, Madeleine Bibault, veuve de Georges Pelissary, le vendit à Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau, qui le réunit au marquisat de La Bourdaisière érigé en sa faveur en juin 1717. Depuis cette époque jusqu'à la Révolution, Greux a été une dépendance de La Bourdaisière.
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