Pocé-sur-Cisse - Le Sevrage

Historique du nom: Le Sauvage (1545, Archives d’Amboise, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin), Le Sauvage, alias Les Granges (1601, Archives d’Amboise, Saint-Florentin), Le Sauvage (1620, 1639, Archives d’Amboise, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin), Le Sauvage (1660, Archives d’Amboise, Saint-Florentin), Le Sauvage (1680, 1691, Archives d’Amboise), Le Sevrage (XVIIe siècle, Archives d’Amboise, Casimir Chevalier, Inventaire), Le Sauvage (1731, Archives d’Amboise), Le Sauvage (1731, Archives 37, 3B15), Le Sauvage (1733, Archives 37, 3B16), Le Sauvage (1740, Archives 37, C568/9), Le Sauvage (1755, Archives 18, 3B229, expertise), Le Sauvage (1769, acte Bellin-Amboise et Archives 37, 3B238), Le Sauvage (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Sauvage ou Sevrage (1809 (Décret impérial, Archives nationales, F2 II Indre-et-Loire), Le Sauvage (1809, Cadastre), Le Sauvage (1820, Carte de l'état-major), Le Sauvage ou Sevrage (1848, acte Boureau-Amboise), Le Sevrage (1935, Cadastre), Le Sevrage (2013, Carte IGN).

Le manoir fut construit, au XVe siècle, par François Sauvage, contrôleur de l'argenterie du roi. En 1545, il appartenait à René de la Bretonnière, lieutenant particulier du bailliage d’Amboise; en 1640, à Roland Brisset, écuyer, un des échevins perpétuels de Tours; en 1643, à Pierre Brisset, écuyer; en 1660, à Roger du Gast; en 1680, à Gabriel Ferrand, conseiller du roi, maître des eaux et forêts d’Amboise et Montrichard; en 1691, à Jean-Baptiste Ferrant, écuyer, conseiller du roi, maître particulier des Eaux et forêts d’Amboise et Montrichard, en 1731, à François Guimard, avocat en parlement, marié à Élisabeth Boisgaultier; en 1769, à André Billault, avocat en parlement et au duché.

Pocé-sur-Cisse par Tourainissime

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