Historique du nom: La Geliniere
(XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Gelinière (1791, Archives 37, 1Q41-18-1, Biens nationaux),
La Galinière (1795, acte Petit/Tours), Julinière (1820, Carte de l'état-major), La Gelinière (1823, acte Dreux/Tours), La Julinière (1828, 1935, Cadastre B1), La Gélinière (2014, Carte IGN).
Ce fief, ancienne propriété de l'abbaye Saint-Julien de Tours, relevait du fief de Châtenay.
En 1491, il appartenait à Guillaume Chauvet; en 1625, à Élie Chambellin; en 1671, à Catherine Chambellin, veuve de Louis Provost, marchand à Tours; en 1672, à Françoise Preuilly, veuve de François Provost; en 1682, à Claude Porée.
Le 28 janvier 1823, Alexandrine Boisquet, épouse d'Henry Magaud,
receveur des contributions indirectes de Saint-Brieuc, racheta pour
50.000 francs, La Gélinière (avec Châtenay) à sa mère et à sa sœur Marie-Martine, femme d'André-Charles Duboy, notaire à Tours.
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