Historique du nom: Le Brueil (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Langeais), Le Breuil (1669, acte Auger/Paris), Le Breuil (XVIIe siècle, Archives 37, E218), Le Breuil (1717, acte Perier/Luynes), Le Breuil (1735, acte Doyen/Paris), Le Breuil de la Porte (1753, acte Castel/Luynes), Le château du Breuil (1774, acte Martigné/Le Mans), Le Breuil (1782, acte Perier/Luynes), Le Breuil (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Breuil (1798, Archives 37, 1Q465-257, Biens nationaux), Le Breuil (1809, acte Deteure/Langeais), Breuil (1820, Carte de l'état-major), Château du Breuil (1829, 1935, Cadastre B2), Le domaine du Breuil (1966, acte Le Guillou/Langeais), Château du Breuil (2013, Carte IGN).
Ce fief, sans justice, relevait de la châtellenie des Écluses, à foi et hommage simple. En 1639, il avait un revenue annuel de 75 livres. Il a appartenu à:
- Pierre Baudet, écuyer (en 1500).
- André Brochain (en 1717), qui a rendu aveu, pour ce fief, le 19 décembre 1717.
- Jean-Éléonor de Petitjean, écuyer (vers 1740).
- Jean-Louis-Abel de Petitjean, chevalier, seigneur de Lignières, fils du précédent (en 1751) qui rendit hommage au châtelain des Écluses, le 3 juillet 1751.
- Jean-Paul Courier, bourgeois de Tours (en 1776), père de l'écrivain Paul-Louis Courier.
- Alexis-Auguste Duveau, président à Tours (en 1782), qui rendit hommage au duc de Luynes, le 15 novembre 1782.
Au milieu du XIXe siècle, Édouard Ourliac y a résidé. Ami de Gérard de Nerval, il est l'auteur, en 1844, d'un livre intitulé Nouvelles diverses dans lequel il décrit les mœurs des gens du coin.
Dans les années 1960, le château fut acheté par la famille Charon.
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