Historique du nom: Arceium (début XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, Livre de Eschequeste), Erceio (XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 102), Erce (XIVe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 273), Ercé (XIVe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 166), Le Puy d’Arçay (1536, Archives 37, C634), Le Puy d’Arçay (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montbazon), Le Puy d’Arsay (1652, Archives d’Azay-le-Rideau), Le Puy d’Arçay (1698, Archives d’Amboise), Le Puy d’Arcé (1709, Archives 37, C336, C555, C603, C634, C651), Le Puy d’Arcé (1736, Archives 37, E130), Le Puy d’Arsay (vers 1740, Archives 37, C633, État du domaine d’Amboise), Le Puy d’Arçay (1769, Archives 37, 3B330), Le Puits d’Arçay (1770, acte Renaud/Paris), Le Puy d’Arçay (1773, acte Bellin/Amboise), Le Puy d’Arçay (vers 1775, Archives 37, A7), Le Puits Darcé (XVIII siècle, Carte de Cassini), Le Puy d’Arçay (1799, acte Besnard/Azay-sur-Cher), Le Puits d'Azé (1820, Carte de l'état-major), Le Puits d’Arcé (1826, 1960, Cadastre), Le Puits d'Arcé (2014, Carte IGN).
Au XIIIe siècle, ce fief relevait de l'archevêché de Tours, à foi et hommage lige, et 5 sols payables le jour de saint Maurice. Par la suite, il releva du château d'Amboise, à foi et hommage lige. Le 15 septembre 1769, ce fief fut réuni à celui de La Michelinière.
Vers 1225, il appartenait à une dame prénommée Pétronille qui donna aux religieux du Gray la dîme de son domaine; en 1227, à André David; vers 1260, à Foulque, dit Chape d'Asne; vers 1290, à Guillaume Lemoyne; en 1506-1528, à Gabriel Miron, premier médecin du roi; en 1576, à Marc de Fortia; en 1577, à Antoine de la Bretonnière; en 1607, à Maurice Roullin alias Roulin, chanoine prébendé de l’église de Tours, élu en l'élection de Tours et secrétaire du roi; en 1672, à René Havart, receveur des tailles en l'élection de Paris; en 1698, à Claude Delorme, conseiller du roi, receveur des tailles en l'élection d'Amboise, en 1709, à Jean Oudin qui rendit hommage le 7 janvier 1710; en 1736, à Claude-François Delorme, prêtre, et à Louis-Thomas Delorme; en 1747-1755, à François Guérin de Bonnac.
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