Vouvray - Les Tuileries

Historique du nom: Les Thuileries (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Tuilerie de la Cisse (1801, acte Mireau/Vouvray), Les Tuileries (1819, Cadastre), Les Tuileries (1820, Carte de l'état-major), Les Tuileries de la Varenne (1855, acte Faucheux/Vouvray), La Tuilerie de la Varenne (1866, acte Faucheux/Vouvray), Les Tuileries (1966, Cadastre), Les Tuileries (2014, Carte IGN).

On a découvert, en ce lieu, une hache plate du Chalcolithique ou du bronze moyen.

Vouvray par Tourainissime

Parçay-Meslay - La Grande-Maison

Historique du nom: La Grande Maison (1748, acte Georget/Tours), La Grande Maison (1782, acte Petit le jeune/Tours), La Grande Maison (1814, acte Mireau/Vouvray), La Grande Maison (1816, Cadastre), La Grande Maison (1820, Carte de l'état-major), La Grande Maison (1948, Cadastre). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Au début du XVIIIe siècle, le logis appartenait à François Pommier. En 1913, la maison est vendue à Émile-Paul-Germain Proust qui y installa le presbytère. En 1980, elle est achetée par la municipalité.

Parçay-Meslay par Tourainissime

Neuillé-le-Lierre - Le Petit-Forget

Historique du nom: La Petite Forge (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Petit Forget (1819, Cadastre), Le Petit Forget (1820, Carte de l'état-major), Le Petit Forget (1936, Cadastre), Le Petit Forget (2013, Carte IGN).

Une station de taille du Paléolithique inférieur a été découverte à cet endroit.

Neuillé-le-Lierre par Tourainissime

Sainte-Maure-de-Touraine - Le Grand-Menasson

Historique du nom: Grand Benasson (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Menasson (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Menasson (1827, Cadastre), Le Grand Ménasson (1963, Cadastre), Le Grand Menasson (2013, Carte IGN).

Ce fief relevait du château de Sainte-Maure, à foi et hommage simple, un roussin de service et loyaux aides. En août 1343, Jean de Boucade rendit aveu pour le fief de Menasson.

Sainte-Maure-de-Touraine par Tourainissime

Saint-Avertin - Grand-Cour

Historique du nom: La Grand Cour (1770, Archives 37, G542), La Grande Cour (1771, Plan du Duché d’Amboise), La Grande Cour (1820, Carte de l'état-major), La Grande Cour (1822, Cadastre F1), Grandcour (1960, Cadastre), Grand-Cour (2014, Carte IGN).

En 1929, ce domaine est acheté par l'écrivain Jules Romains.

Saint-Avertin par Tourainissime

Ligré - Le Quellay

Historique du nom: Le Quellay (1820, Carte de l'état-major), Le Quellay (1836, 1957, Cadastre), Le Quellay (2013, Carte IGN).

On y trouve un souterrain-refuge composé de six salles reliées par d'étroits boyaux. Elles sont munies de puits d'aération, de niches, de banquettes et d'un silo creusé dans le sol. Dans la première salle, il y avait un graffito (de 38 centimètres de haut), gravé dans le tuffeau, représentant un personnage armé d'une épée et d'un bâton, chargé d'un sac et coiffé d'une mitre.

Ligré par Tourainissime

Jaulnay - Le Moulin-de-Jaulnay

Historique du nom: Le Moulin de Jaulnay (1804, 1805, actes Marnay/Marigny-Marmande), Le Moulin de Jaulnay (1806, acte Gallet/Châtellerault), Le Moulin de Jaulnay (1823, acte Monnereau/Marigny-Marmande), Moulin de Jaulnay (1836, Cadastre), Moulin de Jaulnay (1846, DDAF-37, Bassin de la Vienne, rivière de la Veude, dossier 16, moulin 7), Le Moulin de Jaulnay (1933, Cadastre), Le Moulin (2014, Carte IGN).

Dès 1688, le nom d'un meunier fut mentionné dans les registres paroissiaux. Jusqu'en 1767, les propriétaires meuniers se succédèrent. En 1767, le moulin fut arrenté du sénéchal de Richelieu. Le 15 juin 1804, un bail ferme du moulin fut concédé par le propriétaire de l'époque. Les procès verbaux de prisage se succédèrent jusqu'en 1846. Le sieur Robin devint propriétaire par ordonnance du roi Louis-Philippe et, en 1855, par un arrêté préfectoral. Le moulin fonctionna jusqu'en 1970 et fut alors équipé d'un moteur.

Jaulnay par Tourainissime

Chaumussay - Le Moulin-de-Benagu

Historique du nom: Foulon (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Moulin à Foulon du Benague (1811, Cadastre), Moulin à Foulon (1820, Carte de l'état-major), Bénagu (1828, DDAF-37, Bassin de la Creuse, rivière de la Claise, dossier 3, moulin 13), Les Roches (1971, Cadastre), Le Moulin de Benagu (2013, Carte IGN).

Ce moulin n'apparaît dans les textes qu'en 1778 mais il devait être bien plus ancien.

Près de ce moulin, il a été découvert un petit atelier du magdalénien supérieur comprenant plusieurs amas de déchets et d'outils en silex taillé. L'un d'eux se composait uniquement de déchets (nucléus et éclats de façonnage) alors que sur un autre figurait la quasi-totalité des burins et des grattoirs.

Chaumussay par Tourainissime

Saint-Paterne-Racan - Le Jaunay

Historique du nom: Le Jaunay (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Saunay (1820, Carte de l'état-major), Jaunay (1834, Cadastre), Le Jaunay (1937, Cadastre), Le Jaunay (2014, Carte IGN).

Près du Jaunay, il a été découvert une hache polie de couleur verte (en serpentine ?) du Néolithique. Elle n'était pas originaire de la région et mesurait 8 centimètres sur 5.

Saint-Paterne-Racan par Tourainissime

Saint-Paterne-Racan - Les Belles-Caves

Historique du nom: Les Belles-Caves (1834, Cadastre), Les Belles Caves (1937, Cadastre), Les Belles Caves (2014, Carte IGN).

Près des Belles-Caves, fut trouvé un long silex doré provenant des ateliers du Néolithique du Grand-Pressigny.

Saint-Paterne-Racan par Tourainissime

Montrésor - Montigny

Historique du nom: Moulin de Montigny (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Moulin de Montigny (1820, Carte de l'état-major), Le Moulin de Montigny (1831, Ordonnance Royale, Archives nationales F2 II Indre-et-Loire 2), Moulin de Montigny (1832, Cadastre B1), Montigny (1852, DDAF-37, Bassin de l’Indre, rivière de l’Indrois, dossier 2, moulin 9), Montigny (1952, Cadastre), Montigny (2013, Carte IGN). Par Ordonnance Royale du 9 août 1831, Coulangé céda à Montrésor le Moulin-de-Montigny.

Au XIIIe siècle, ce moulin à farine appartenait à l'abbaye de Villeloin. En 1852, c'était toujours un moulin à blé. En 1920, son propriétaire, Lucien Théret, décida de remplacer la roue à aube par une turbine verticale qui actionnait une dynamo grâce à un axe de transmission à pignons démultipliés. Ainsi transformé en usine électrique, il fonctionna jusqu'en 1942.

Montrésor par Tourainissime

La Ville-aux-Dames - Bois-Neuf

Historique du nom: La Claveurerie (1411, 1488), La Claverie alias Boisneuf (1650), Bois Neuf (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Bois Neuf (1813, Cadastre), Le Bois-Neuf (1820, Carte de Cassini), Bois Neuf (1864, acte Scoumanne/Tours), Bois Neuf (1961, Cadastre). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2014.

Ce domaine appartenait au chapitre de l'église de Tours et dépendait de la chapelle Notre-Dame-du-Chevet ou Boisneuf. En 1700, l'étendue du domaine était de 24 arpents. Le 2 mai 1791, les bâtiments furent vendus comme bien national, pour 12.400 livres, à un marchand de draps. Avant la Révolution, Bois-Neuf faisait partie de la paroisse de Saint-Pierre-des-Corps.

La Ville-aux-Dames par Tourainissime

Artannes-sur-Indre - La Bruère

Historique du nom: La Bruyere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Bruère (1750, acte Gervaize/Tours), La Bruere (1820, Carte de l'état-major), La Bruère (1821, 1936, Cadastre), La Bruère (2014, Carte IGN).

Artannes-sur-Indre par Tourainissime

Fondettes - Beaumanoir

Historique du nom: La Haute Guignière (1813, Cadastre), Beaumanoir (1812, acte Boisquet/Tours), Beaumanoir (1970, Cadastre BI/1a). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le manoir fut réquisitionné par la Luftwaffe.

En 1956, des ouvriers découvrirent à Beaumanoir un trésor de 904 monnaies gauloises. Ces pièces, accompagnées d'une fibules, se trouvaient dans un petit vase en terre caché sous le foyer d'un logis. La grande majorité était constituée de potins, ou pièces coulées, attribuables aux Bituriges Cubes (Berry), au Centre-Ouest et surtout aux Carnutes (Orléanais et région de Chartres). Deux portaient la mention Conno epillos/sedullus. Elles étaient des copies d'un type romain frappé en 47 avant Jésus-Christ autorisant la datation de l'enfouissement à cette époque.

Fondettes par Tourainissime

Fondettes - La Plaine

Historique du nom: La Plaine (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Maillé), La Plaine (1735, Archives 37, B, Bailliage de Tours), La Plaine (1772, acte Chereau/Tours), La Grande Plaine (1780, acte Thenon/Tours), La Plaine  (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Plaine (1792, acte Petit le jeune/Tours), La Plaine (1811, Cadastre), La Plaine (1820, Carte de l'état-major), La Plaine (1864, acte Scoumanne/Tours), La Plaine (1910, acte Vassor/Tours), Le Château de la Plaine (1950, Archives 37, Q, Tribunal de Tours), Le Château de la Plaine (1970, Cadastre BD). Ce lieu est appelé Lycée sur la carte IGN de 2013.

En 1639, ce domaine était un fief appartenant au chapitre de Saint-Martin de Tours.

Dans ce lieu, il y avait une closerie qui fut détruite par un incendie en 1871. Elle a été remplacée par un château bâti à la demande d'Eugène Gouin. Issu d'une famille de banquiers tourangeaux, il était maire de Tours, conseiller général, député en 1871, puis sénateur de 1884 à 1892. En 1950, le domaine fut transformé en lycée agricole public où étaient enseignées l'horticulture et la viticulture.

Fondettes par Tourainissime

Tours - Clos-Saint-Libert

Historique du nom: Clos Ribert (1835, Atlas d'Entraigues), Clos Saint-Libert (2014, Carte IGN). Ce lieu faisait partie de l'ancienne commune de Sainte-Radegonde.

En 1936, il y avait, à cet endroit, un orphelinat, œuvre de Mlle Bonjean.

Tours-Nord par Tourainissime

Saint-Cyr-sur-Loire - Beau-Clos

Historique du nom: Beau Clos (1813, Cadastre), Beauclos (1813, acte Normand/Tours), Beau-Clos (1820, Carte de l'état-major), Beauclos (1888, Archives 37, 3U3/1295). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre de 1972 et sur la carte IGN de 2014.

Saint-Cyr-sur-Loire par Tourainissime

Saint-Nicolas-de-Bourgueil - Les Landes-du-Peu-de-Chevrette

Historique du nom: Les Landes du Peu de Chevrette (1947, Cadastre). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2016.

A cet endroit, il a été trouvé un trésor de 80 deniers d'argent frappés par l'abbaye Saint-Martin de Tours, à l'époque carolingienne.

Saint-Nicolas-de-Bourgueil par Tourainissime