Historique du nom: Le Plessis (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Plessis (1820, Carte de l'état-major), Le Plessis-Gerbault (1837, Cadastre H2), le Plessis Gerbault (1967, Cadastre BT), Le Plessis Gerbault (2013, Carte IGN). Ce lieu se trouve sur le territoire de l'ancienne paroisse de Parilly.
Ce fief relevait de Cravant, à foi et hommage lige. En 1554, il appartenait à Jean Pommier, écuyer; en 1584, à Jacques Pommier; en 1689, à Philippe Dreux, second du nom, né le 6 juin 1610, lieutenant général de Chinon (1631) (A noter qu'il fut l'un des juges qui condamna le curé de Loudun, Urbain Grandier, au bûcher, en 1634), président au siège royal de Chinon (1648), mariée à Anne Le Clerc, il mourut le 9 mars 1683; en 1663, Philippe Dreux, troisième du nom, écuyer, conseiller au grand conseil (1662), maître des requêtes ordinaires de l'hôtel du roi (1689), marié, le 26 mars 1664, à Anne Françoise Catherine de Sainctot, fille de Nicolas de Saintctot, maître des cérémonies de France, il mourut en juin 1709; en 1737, à Antoine Charles Henri d'Arcemale, chevalier, marié, le 18 mai de cette même année, à Marie Anne Dreux, fille de Pierre, seigneur de La Chancellerie.
Par la suite, Le Plessis a appartenu à Pierre Herbelin, commissaire des guerres et administrateur du district de Chinon. Il y décéda le 4 décembre 1820.
Par la suite, Le Plessis a appartenu à Pierre Herbelin, commissaire des guerres et administrateur du district de Chinon. Il y décéda le 4 décembre 1820.
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