Historique du nom: Nouezay alias Les Aubiers (1423, Dom Housseau), Nouezay (1489, Dom Housseau), Noizay (XVIe siècle, Dom Housseau), Noizay (1639, Rôle
des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), Noizai (1776, acte Gervaize/Tours), Noisay (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Noizay (1820, Carte de l'état-major), Noizay (1827, Cadastre), Noizay (1879, Hypothèques de Chinon), Noizay (1946, Cadastre), Noizay (2013, Carte IGN).
En 1639, ce fief avait un revenu annuel de 62 livres et 10 sols. Il relevait de La Rarie, à foi et hommage lige, et un roussin de service valant 30 sols, et 25 livres aux loyaux aides. Le logis seigneurial était fortifié. Dans un titre de 1489, il est qualifié d'hôtel fort et de forteresse. En 1423, il appartenait à Marie Beslonne, veuve de Robert de Jupilles; en 1489, à Pierre de Betz; en 1506, à François de Betz; en 1563, à Jacques de Brilhac; en 1591, à Louis de Crevant; en 1650, à Julien Henry; en 1668-1684, à François Henry, commissaire ordinaire de l'artillerie, marié à Martine le Bourguignon; en 1787, à René-Jean-Guillaume de Valois; en 1879, à Dominique-François Sorin.
Il existait, dans le logis seigneurial, une chapelle qui est mentionnée dans le Registre de visite du diocèse de Tours, en 1787.
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