Historique du nom: Prunarii villula (Xe siècle, Charte de Charles le Simple), Prunerii (1104, Cartulaire de Noyers,
charte 320), Pruniers (XIIe siècle, Missale Beati Martini), Chesne, Frèche
ou Fief des Pruniers (1562, 1580, Archives 37, G948), Le Chêne d’Orlin (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Chêne Dorlin (1820, Carte de l'état-major), Le Chêne Dorlin (1827, Cadastre), Le Chêne
d’Orlin (1963, Cadastre), Le Chêne d'Orlin (2013, Carte IGN).
Ce fief relevait de la prévôté de Saint-Épain, à foi et hommage simple, et 20 sols de devoir annuel. La mairie de Pruniers constituait un fief distinct du précédent et relevait aussi de la prévôté de Saint-Épain. Au Xe siècle, ce domaine appartenait aux chanoines de Saint-Martin. En 1444, Gillet Perrotin en était propriétaire. Après lui, on trouve: Guillaume Estevou (1560) qui vendit le fief, le 19 mars 1562, à Jean de Puy-Herbault; Gabriel Delaistre, 1566; Denis Demutz, 1608; François de Commacre, 1617; Jean Remon, 1694-1701; Charles Huet de Margonne, 1771.
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