Lémeré - La Bourlière

Historique du nom: La Bourliere (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), La Bourlière (1820, Carte de l'état-major), La Bourlière (1836, Cadastre), La Bourlière (1917, acte Genevoix/Champigny-sur-Veude), La Bourlière (1958, Cadastre), Le Bourlière (2013, Carte IGN).
Vers 1783, ce domaine était passé aux enfants de Me Jean-Jacques Amirault, notaire royal à Lémeré, décédé prématurément. Au début du XIXe siècle, il apparaît comme étant divisé par moitié. L'une appartenait à Anne Amirault qui, le 15 septembre 1802, vendit sa part, par bail à rente viagère et alimentaire, à Jacques Amirault, propriétaire cultivateur à Lémeré, et à sa femme Jeanne Champigny. L'autre partie était à son neveu Jean Pierrault qui loua en 1807, puis le 21 septembre 1813, au même Jacques Amirault la borderie de La Bourlière. Dans un acte de partage du 16 mars 1824, Jean Pierrault était dit militaire absent présumé disparu et le lot n° 1 comprenant une partie de La Bourlière fut attribué à Jacques Amirault qui en était déjà le fermier. Par la suite, La Bourlière passa à son parent Jacques Faucillon dont la famille la garda jusqu'en 1894. Le 11 mars de cette année, Marie-Louise Faucillon, épouse de Me Herpin, avoué près le tribunal civil de Chinon, et Julie-Constance Faucillon, femme de Georges Garreau, négociant à Évreux, vendirent La Bourlière à M. et Mme Pavard. Celui-ci étant mort à Tours le 21 mars 1917, ce fut sa sœur, Mme Cruchon, sa seule héritière, qui en reçut la propriété. Elle la céda, le 25 décembre suivant, devant Me Genevoix, à Léopold Blanchard.

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