Historique du nom: Molaville (1636, Archives d’Amboise, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin), Ouche Maulaville (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Château-Renault), Maulaville (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Château-Renault), Le Plessis-Molaville et Le Plessis-Monnaville (XVIIe siècle, Archives 37, C568, C580), Molaville (1702, acte Coudelou/Vernou-sur-Brenne), Le Petit Ouche Molaville (1747, acte Degranville/Amboise), Monaville (1752, Archives d’Amboise, Saint-Florentin), Molaville (1757, Archives d’Amboise, Saint-Florentin), Molaville (1782, Archives 37, B, Bailliage de Tours), Molavillion et Maulaville (XVIIIe siècle, Archives 37, E583, E604), Monaville (XVIIIe siècle), Monaville (1816, Cadastre B2), Molaville ou Montlaville (1883, acte Tardiveau/Vernou-sur-Brenne), Monaville (1957, Cadastre AM1b). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.
Ce fief, valant 20 livres en 1639, relevait de la prévôté de La Rochère et du Bas-Pocé. En 1524, il appartenait à Julien Berruyer, en 1590, à Jean Boileau, en 1636, à Claude Mayet, alias Mahiet, chef de fourrière de la maison du roi; en 1752, à Charles Billault, officier du château d'Amboise.
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