Ce village a porté les noms de: Sancto Symphoriano de Porcellis (887), Sanctus Symphorianus de Porcellis (XIIe siècle), Porceaus (1247), Sancti Simphoriani Porcorum (1247), Sancti Symphoriani de Porcello (1247), Sancti Simphoriani Porchorum (1247), Sancti Symphoriani des Porceaus (1247), Sancti Symphoriani de Porcellis
(1247), Saint-Symphorien des Pourseaux (1479, comptes de la fabrique),
Saint-Symphorien des Pourceaux (1612), Saint-Symphorien des Pontceaux ou
des Ponceaux (1661, 1669, 1704, titres de la cure), Saint-Simphorien
des Ponceaux (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saint-Symphorien des
Ponceaux (1829, 1938, cadastre), Saint-Symphorien les Ponceaux
(2013, carte IGN).
Le 31 décembre 1817, cette ancienne
paroisse a été réunie à celle d'Avrillé. Elle était du ressort de
l'élection de Baugé et faisait partie de l'archiprêtré de Bourgueil,
diocèse d'Angers. Le titre curial était à la présentation de l'abbé de
la Trinité de Vendôme. En 1728, le revenu de la cure était de 228
livres. Tous les ans, le curé devait offrir au seigneur de Vertaunay six
quenouilles de lin.
Parmi les personnages qui furent inhumés
dans l'église, on remarque Alexis de Jussac, marquis de la Morinière,
seigneur de la Dornière, lieutenant général de l'artillerie, décédé le
25 octobre 1719.
Les registres d'état civil commencent en 1608.
Curés de Saint-Symphorien:
Jean Dutuy, 1479; Guillaume Métayer, 1583; Avril, 1608; Adrien Fouy,
1656; Vincent Boussin, 1669; René Dezairs, 1672; François Garnier, 1694;
Jean-Baptiste Hardouin, 1730; Jacques Métayer, 1731; Pierre Froidur,
1748; Métayer, 1784; Antoine-Laurent Bretonneau, 1789; Boullet, curé
constitutionnel, 1793.
Le fief de Saint-Symphorien relevait de
Château-la-Vallière d'après un aveu rendu le 5 juillet 1776 par
Jean-Armand de Rougemont, chevalier.
Maires de Saint-Symphorien: Louis Ruet, 1807; Baugé de la Couloiterie, 23 avril 1807; Louis Fontaine, 14 décembre 1812.
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