Historique du nom: Mariacus villa, Villa de Mariaco (860, Cartulaire de Cormery, Charte du chapitre Saint-Martin de Tours, charte 23), Et feodum domini Raginaldi de Meré (début XIIIe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, Livre de Eschequeste); Méré (1348-1398, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 180), La Grange de Méré (XIVe siècle, Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 146), Méré (1640, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Montbazon), Méré (1726, 1768, Archives 37, E117, E141), Méré (1727, 1771, Archives de Saché), Méré (1774, acte Hubert/Tours), Méré (1775, Archives de Saché), Mairé (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Mairé (1820, Carte de l'état-major), Méré (1821, Cadastre G1), Méré (1853, acte Robin/Tours), Méré (1936, Cadastre G), Méré (2014, Carte IGN).
En 917, ce fief fut donné au Chapitre de Saint-Martin de Tours par Robert, trésorier de cette église. Vers 1300, il appartenait à Regnaud de Méré; en 1370, à Pierre de Préaux; en 1402, à Jehan Savary; en 1488, à Guillaume de Haute-Pierre; en 1598, à Pierre Dumoulin, écuyer, avocat au Parlement; en 1612, à Horace des Jardins; en 1636, à Gaucher de Sainte Marthe, avocat en parlement, conseiller historiographe du roi, et Élisabeth Dumoulin, sa femme; en 1700, Pierre Gaucher de Sainte-Marthe, historiographe de France; en 1703, à Louis Gaucher de Sainte-Marthe, qui le vendit, par acte du 18 juillet 1726, à Michel Antoine Ignace Ferrand, chevalier, conseiller au Parlement de Paris. Celui-ci, par acte du 6 mars 1768, le céda à Jean-Paul Courier, bourgeois de Paris, père du pamphlétaire Paul-Louis Courier. Par un autre acte du 9 avril 1774, Jean-Paul Courier vendit le même domaine à Jean-Marie Landriève des Bordes, secrétaire honoraire du roi, commissaire de marine, marié à Marie-Gilles Chaussegros de Lery, qui était veuve en 1781.
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