Historique du nom: L’Argentrye (1631, Archives de Benais), L'Argenterie (1653, Archives de Benais), Largenterie (1656, Archives de Benais), L’Argenterie (1743, acte Farouelle/Benais), L’Agenterie (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), L'Argenterie (1820, Carte de l'état-major), L’Argenterie
(1830, 1940, Cadastre), L'Argenterie (2016, Carte IGN).
En 1631, Pierre Bodineau, avocat au Parlement, était qualifié de sieur de l'Argenterie. En 1713, ce domaine appartenait à Pierre Philbert (ou Philibert), prêtre; en 1715, à Françoise de Sainte Cécille, fille de Louis de Sainte Cécille, seigneur de La Gaucherie et de Jeanne-Baptiste de Grenouillon; en 1724, à Jeanne-Baptiste de Sainte Cécille; en 1743, Charles-François de Romans, seigneur de Fline, veuf d'Angélique de Sainte Cécille, remarié, le 9 septembre 1738, à Anne du Tertre; en 1764, à Charles-Louis-Joseph de Romans, marié, le 10 janvier 1764, à Marie-Françoise de Guillon de Rochecotte. Leur fille, Jeanne-Émilie, née le 24 juin 1769, était veuve de Joseph Le Roux de Mazé quand fit donation de L'Argenterie, vers 1820, à Adolphe Le Roux de Salvert. Le 6 novembre 1861, le fils cadet de ce dernier, Charles Le Roux de Salvert de Mazé, vendit L'Argenterie, dont il avait hérité de son frère Émile en 1859, à Hubert Verdon-Houx.
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