Saint-Antoine-du-Rocher - Le Grand-Réchaussé

Historique du nom: Recalcetum (1108, Dom Housseau), Recalciatus (1212, Dom Housseau), Rechaussay (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Maillé), Le Grand Rechaussé (1750, acte Ridet/Tours), Le Grand Rechaussé (XVIIIe siècle, Archives 37, G73), Grande Rechaussé (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Rechaussé (1812, acte Juge/Tours), La Grande Réchaussé (1820, Carte de l'état-major), Le Grand Rechaussé (1828, Cadastre), Le Grand Rechaussé (1833, acte Delamare/Fondettes), Le Grand Réchaussé (1933, Cadastre), Le Grand Réchaussé (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait de La Roche-Buard. Vers 1108, il appartenait à Gosselin de Rechaussé qui comparut comme témoin dans une charte de Léon concernant le prieuré de L'Encloître; en 1212, à Hugues de Rechaussé qui plaidait, à cette époque, au sujet d'une dîme, avec les religieux de Marmoutier; en 1455, à Jean de Daillon qui donna aux religieux de La Clarté-Dieu ce qu'il possédait à La Roche de Vouvray-sur-Loir et dans les paroisses de Saint-Paterne et de Saint-Christophe; en 1462, à Jean de Paincourt; en 1566, à Marguerite de Coningham, fille de Pierre de Coningham, écuyer; en 1602, à Jacques Tonnereau; en 1640, à Gilles Aubry, écuyer, seigneur de Villiers; en 1654, Léonor Aubry; en 1720, à Joseph Aubry, premier président au bureau des finances de Tours; en 1753, à Joseph-Jean Aubry qui rendit aveu le 2 juillet; en 1774, à Joseph-Robert Aubry.

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