Historique du nom: Cande (XIIe siècle, Charte de Fontaine-les-Blanches), Le fief de Candé (1536, Archives 37, C634), Candé (XVIIIe siècle, Archives 37, C336, C603, C651), Le fief de Candé de la Bourgetterie (vers 1740, Archives 37, C633, État du domaine d’Amboise), Le fief de Candé de la Bourgettière (vers 1775, Archives 37, A7/390). Ce lieu ne figure pas sur le cadastre et la carte IGN.
Primitivement, Candé et La Jaujupinière formaient deux fiefs distincts relevant d'Amboise et, pour une partie, de Montrichard. Au XVIIIe siècle, ils étaient réunis sous le seul nom de Candé. Ils appartenaient, en 1464, à Michel de Chastenet; en 1508, à Pierre de la Ferté; en 1523, à François de Mons; en 1577, à Michel Cormier; dès 1670, à Louis de la Motte-Villebret, qui, par acte du 21 février 1707, le vendit à Jean-René Le Roy; en 1738, à Louis de Conflans, marquis d'Armentières, seigneur de Chanteloup.
Souvigny-de-Touraine par Tourainissime