Historique du nom: La Frillière (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Château-Renault), Frillière (1646, acte Voyer/Tours), La Frillère (XVIIe siècle, Archives 37, G473), La Frislière (1703, acte Coudelou/Vernou-sur-Brenne), La Frilliere (1765, Carte de Cassini), La Frillière (1793, acte Juge/Tours), La Frillière (1819, Cadastre K1), La Frillière (1820, Carte de l'état-major), La Frillière (1843, acte Chambert/Tours), La Frillière (1966, Cadastre BH38), La Frillière (2014, Carte IGN).
Ce fief relevait de la châtellenie et de la prévôté de Vouvray. En 1639, il avait un revenu annuel de 15 livres. En 1568, il appartenait à Guillaume du Perray; en 1570, à la famille Moreau; en 1639, à la veuve de Pasquier Marteau et à Denis Marteau, bourgeois de Tours; en 1750, à Mathieu Duchamp, conseiller du roi au bailliage de Tours, qui rendit aveu le 1er juin; en 1766, à Louis Duchamp-Duporteau, capitaine au régiment de Royale Infanterie, marié, le 1er septembre 1766, à Anne Élisabeth Chicoisneau et qui mourut à Tours le 6 juin 1805. Au XVIe siècle, la collégiale Saint-Martin de Tours possédait divers terrains dans ce village.
On y trouvait un relai pour les diligences à mi-distance d'Amboise et de Tours.
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