Beaumont-en-Véron - La Rue-Chambert

Historique du nom: La Rue Chambert (1684, 1746, 1791, Archives de Beaumont-en-Véron), La Rue Chambert (1820, Carte de l'état-major), Rue Chambert (1840, Cadastre D1+D2), La Rue Chambert (1955, Cadastre AB+AC), La Rue Chambert (2013, Carte IGN). Ce lieu faisait partie de la commune de Saint-Louand.

Ce domaine était une annexe du château de Détilly. En 1684, Louis de Valory mourut en sa maison de la Rue Chambert.

Beaumont-en-Véron par Tourainissime

Maillé - Gâte-Bourse

Historique du nom: La métairie de Gatebourse (1610, Archives 37, G335, Aveu), Gâte Bourse (1827, Cadastre B1), Gâte Bourse (1957, Cadastre), Gâte-Bourse (2013, Carte IGN).

Ce domaine faisait partie de la paroisse d'Argenson créée en 1666.

Maillé par Tourainissime

Maillé - Les Gaudeberts

Historique du nom: Les Gaudeberts (1765, Carte de Cassini), Les Gaudeberts (1820, Carte de l'état-major), Les Gaudeberts (1827, 1957, Cadastre B1), Les Gaudeberts (2013, Carte IGN).

Ce domaine faisait partie de la paroisse d'Argenson créée en 1666.

Maillé par Tourainissime

Maillé - Nimbré

Historique du nom: Nimbre (1765, Carte de Cassini), Nimbré (1820, Carte de l'état-major), Nimbré (1827, 1957, Cadastre B1), Nimbré (2013, Carte IGN).

Ce domaine faisait partie de la paroisse d'Argenson créée en 1666.

Maillé par Tourainissime

Sonzay - Les Landes

Historique du nom: Landa (862, Actes de Charles II le Chauve, roi de France), Landa (924, Dom Bousquet, Recueil des Historiens des Gaules), La Lande (1746, acte Leger-Luynes), Les Landes (1765, Carte de Cassini), Les Landes (1820, Carte de l'état-major), Les Landes (1828, Cadastre B1+C1), Les Landes (1857, Tribunal de Tours), Terre aux Landes (1865, acte Scoumanne/Tours), Les Landes (1950, Cadastre C1), Les Landes (2013, Carte IGN).

En 1629, Jean Pillet, marié à Renée Le Hayer, était le seigneur des Landes.

Sonzay par Tourainissime

Loches - Vautrompeaux

Historique du nom: Vautrompeau (1765, Carte de Cassini), Vautrompeaux (1820, Carte de l'état-major), Veautrompeaux (1826, Cadastre D1), Veautrompeaux (1962, Cadastre BH), Vautrompeaux (2013, Carte IGN).

Le 9 février 1793, Jacques Prudent Bruley vendit cette closerie à M. Goubeau.

Loches par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - Lausanne

Historique du nom: Ozanne (1231, Cartulaire de l'abbaye de Baugerais), Lausanne (1820, Carte de l'état-major), Lausanne (1831, Cadastre K3), Lausanne (1953, Cadastre K5), Lausanne (2103, Carte IGN). Ce lieu faisait partie de l'ancienne commune d’Aubigny.

Ce domaine est une ancienne propriété de l'abbaye de Baugerais. En 1231, ce domaine appartenait à Alexandre Mary, frère de Guillaume, curé de Saint-Jean-Indre. La maison brûla vers 1941-1942, puis fut reconstruite. Elle appartenait à M. de Montigny.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - La Métairie-du-Bois

Historique du nom: Metairie du Bois (1765, Carte de Cassini), La Métairie des Bois (1820, Carte de l'état-major), La Métairie du Bois (1831, Cadastre L3), La Métairie du Bois (1953, Cadastre L4), La Métairie du Bois (2013, Carte IGN).

Cette ferme a toujours dépendu du domaine de Chaillou.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - La Reignière

Historique du nom: La Reniere (1765, Carte de Cassini), La Reygnière (1820, Carte de l'état-major), La Reignère (1831, 1953, Cadastre L1), La Reignière (2013, Carte IGN).

En 1723, ce fief relevait de Baugerais. En 1502, il appartenait à Jacques et Pierre d'Orçay, et Guillaume de Brenne; puis à d'autres de Brenne en 1526, 1560, 1593. Les Bastignon leur succédèrent. Une demoiselle Bastignon épousa un Moreau, d'où toute une génération de Moreau (Étienne, Jean 1645, Pierre). François Moreau, qui était chapelier, vendit La Reignière, en 1674, à un marchand, Claude Appert. Celui-ci la céda aussitôt à un laboureur de Thoiselay, Jean Chartier. En 1800, les Boisseau, dont Silvain, étaient les propriétaires de La Reignière.

En 1723, il y avait, à La Reignière, une borderie, propriété de Louis Auger, marié à Marie Blanchet, et de Marguerite Auger, épouse de Gabriel Roingeard.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - Beauchoux

Historique du nom: Les Beauchoux (1765, Carte de Cassini), Village des Beauchoux (1820, Carte de l'état-major), Village de Beauchoux (1831, Cadastre M2), Beauchoux (1953, Cadastre M2), Beauchoux (2013, Carte IGN).

En 1792, ce domaine appartenait à Augustin Auger qui était aussi le propriétaire, avec son frère Jacques, des Chaumes.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - La Cour

Historique du nom: La Cour (1765, Carte de Cassini), La Cour (1820, Carte de l'état-major), La Cour (1823, Ordonnance Royale du 25 juin, Archives nationales, F2 II Indre-et-Loire 1), La Cour (1831, 1953, Cadastre B2), La Cour (2013, Carte IGN). Ce lieu faisait partie de l'ancienne commune d’Aubigny.

Jadis, cette métairie dépendait de l'abbaye de Baugerais.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loché-sur-Indrois - Gratte-Paille

Historique du nom: Grangia de Gratte Paille (1236, Cartulaire de Baugerais; Archives 36, H979), Grattepaille (1765, Carte de Cassini), Gratte Paille (1820, Carte de l'état-major), Gratte Paille (1831, Cadastre K3+L3), Gratte-Paille (1953, Cadastre L4), Gratte-Paille (2013, Carte IGN).

Cette métairie dépendait de l’abbaye de Baugerais. Sa grange était sans chapelle, contrairement à celles de Douince, à Villedômain, et de Biard, à Céré-la-Ronde. En 1255, les moines de Baugerais y arrentaient quelques terres comme par la suite en 1493, 1519, 1529, 1554, 1556. En décembre 1606, les métayers Jean Graillet et Toussaint Fillault, son gendre, furent remplacés par Gilles Delacroix. Le 16 novembre 1779, Jean-Baptiste Perreau, marchand-fermier demeurant à la levée des ponts de Châtillon, prenait Gratte-Paille à rente à Madeleine Soulmier, veuve de Claude Bertnier de la Cormerie. Bien plus tard, Gratte-Paille appartint, jusqu'en 1953, à M. de Montigny de Beauvais dont la veuve la vendit à un cultivateur de Villiers-en-Brenne, M. Salmon.

Loché-sur-Indrois par Tourainissime

Loches - Vauzelle

Historique du nom: Bas Vozelle (1765, Carte de Cassini), Vauzelles (1820, Carte de l'état-major), Vauzelle (1826, Cadastre B1), Vauzelle (1962, Cadastre AI1), Vauzelle (2013, Carte IGN).

Vers 1210, Hugues Grasleul, noble lépreux, avec le consentement de son frère aîné Guillaume et de ses autres frères, donna se domaine à l'abbaye de Baugerais.

Loches par Tourainissime

Channay-sur-Lathan - La Gare-de-Bré

Historique du nom: La Gare de Bré (1952, Cadastre A2), La Gare de Bré (2015, Carte IGN).

Cette petite gare, construite en 1885, est isolée en pleine campagne à mi-chemin de Channay et de Courcelles car elle assurait jadis le trafic pour les deux communes sur la ligne du CFD (Chemin de fer départemental): Port-Boulet à Château-Renault. Cette ligne à voie unique, surnommée la ligne du pain sec, fut exploitée après 1937 par le département comme voie d'intérêt local. Elle ferma en 1949. Le train roulait très lentement, à environ 20 kilomètres à l'heure.

Channay-sur-Lathan par Tourainissime

Rouziers-de-Touraine - Moulin-de-la-Violière

Historique du nom: Le Moulin de la Viollière (1658, Acte Richer/Tours, Aveu de Jehan du Bois), Le Moullin de la Viollière (1721, acte Tousche/Vallières), Le Moulin de la Viollière (1795, acte Petit/Rouziers-de-Touraine), Moulin (1820, Carte de l'état-major), Le Moulin de la Viollière (1824, Hypothèques de Tours), Moulin de la Violière (1827, Cadastre E3), Le Moulin de la Viollière (1844, acte Robin/Tours), Moulin de la Viollière (1854, DDAF-37, Bassin de la Loire, ruisseau de Rouziers, dossier 20, moulin 1), Moulin de la Violière (1933, Cadastre E3), La Volière (2014, Carte IGN).

En 1854, ce moulin servait à moudre du blé.

Rouziers-de-Touraine par Tourainissime

Saint-Michel-sur-Loire - Le Château

Historique du nom: Châtellenie de Saint Michau (1447), Le fief et seigneurie de Saint Michel sur Loire (1639, Rôle des fiefs de Touraine, rôle de Chinon), La chastellenie de Saint Michel sur Loire (1663, Archives nationales E), Henri François Despinay, chevalier, seigneur par indivis de la tierce partie de La baronnie de Saint Michel sur Loire (1678, Archives de Rivarennes), La baronnie de Saint Michel sur Loire (1739, acte Tousche/Vallières), Château (2016, Carte IGN).

Le fief et seigneurie de Saint-Michel relevait du château de Chinon. En 1639, il avait un revenu annuel de 57 livres 4 sols 10 deniers. Son existence est attestée depuis le XIe siècle où Ingelger, de Langeais, vivant en 1060, en était le premier seigneur connu. Son petit-fils Aimery donna, en 1093, à Baudry, abbé de Bourgueil, l'église de Saint-Michel fondée par ses ancêtres. Mais les noms de leurs successeurs ne recommencent que dans le dernier quart du XIIIe siècle où Saint-Michel, en 1270, était dans les mains de la femme de Hugues de Beauçay. Pierre de Marmande, qui était seigneur de Saint-Michel en 1343, n'eut qu'une fille, Marguerite, laquelle épousa Jean III de Sancerre. Par alliance, la terre de Saint-Michel passa successivement à Béraud II, comte de Clermont, puis à Jacques de Montberon avant d'être acquise, vers 1400, par Yolande d'Aragon, reine de Naples et de Sicile, veuve de Louis d'Anjou. Elle la revendit à Jean de Bueil, quatrième du nom, qui fut tué à Azincourt en 1415. Du XVe siècle à la Révolution, trois familles seulement possédèrent le fief: celle de Bueil, d'Espinay et de Luynes.

Louis XI (📌), qui vint à Saint-Michel le 20 octobre 1462 puis le 2 mai 1470, y fit trois séjours en 1471. Sans doute fut-il reçu par Jean V de Bueil (📌), surnommé le Fléau des Anglais, capitaine de Tours et amiral de France qui mourut en juillet 1477. Son fils Antoine, né de son premier mariage avec Jeanne de Montejean, se maria à Jeanne de France, la troisième fille naturelle que Charles VII eut d'Agnès Sorel.

Le 19 janvier 1505, la terre de Saint-Michel fut vendue par décret et acquise par Jacques d'Espinay. Le 2 mars 1549, en tant que seigneur de Saint-Michel, René d'Espinay reçut l'aveu de Jean Briçonnet pour son fief des Réaux à Chouzé. Ce ne fut que dans la seconde moitié du XVIIe siècle que leur descendant, Louis d'Espinay, vendit en 1660 Saint-Michel à Louis Charles d'Albert, duc de Luynes.

Désormais et jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, Saint-Michel fit partie intégrante du duché de Luynes. Louis Joseph Charles Amable d'Albert, duc de Luynes, pair de France, chevalier de Saint-Louis, fut élu le 17 mars 1789 pour présider l'assemblée électorale de la noblesse de Touraine. Il mourut sous le premier empire le 21 mai 1807, mais il ne possédait plus alors le château de Saint-Michel qui avait été incorporé à la terre de Planchoury. André Girault de Planchoury décéda le 15 octobre 1805, ayant eu de Marie Anne Claude Desmé du Buisson, deux filles. L'aînée, Marie Marthe Claude, s'était unie à son cousin, Auguste Jean Marie Desmé de Chavigny. Avec sa sœur, Anne Marie, épouse de Jean Honoré Demons, elle partagea les dépendances de Planchoury le 15 janvier 1806. Deux lots furent composés et le second, formé principalement du château de Saint-Michel, échut à Mme Demons, mais un échange dut intervenir entre elles, car en définitive ce fut Mme de Chavigny qui en resta propriétaire. Celle-ci avait eu au moins cinq enfants d'Auguste Jean Marie Desmé qui mourut le 25 février 1808. Par testament, elle laissa Planchoury à son second fils, Thomas Marie Ferdinand, qui recueillit le domaine après le décès de sa mère le 25 novembre 1834. Ce fut sa veuve, Félicité Françoise Le Poittevin de la Croix de Vaubois, qui vendit Planchoury, le 25 avril 1858, à un banquier, Eugène Polak. La fille de ce dernier en détacha les bâtiments de l'ancien château de Saint-Michel qu'elle vendit, le 31 juillet 1919, à Clément Paul Germain qui fut maire de Saint-Michel.

Ce fut le petit-fils de M. Germain qui les a revendus le 2 mai 1964 à la famille qui les possédait toujours en 1984.

Saint-Michel-sur-Loire par Tourainissime

Seuilly - Le Petit-Vrilly

Historique du nom: Viristlei, Vrilli (XIe siècle), Bas Vrilly (1765, Carte de Cassini), Métairie du Petit Vrilly (1796, Archives 37, 1Q452/700, Biens nationaux), Le Petit Vrilly (1820, Carte de l'état-major), Le Petit Vrilly (1837, 1959, Cadastre C1), Le Petit Vrilly (2013, Carte IGN).

Lors de la Révolution, cette métairie appartenant à l'abbaye de Seuilly, fut vendue comme bien national.

Seuilly par Tourainissime

Lémeré - Le Petit-Jable

Historique du nom: La borderie du Petit Jable (1811, acte Fourchault/Richelieu), Le Petit Jable (1820, Carte de l'état-major), Le Petit Jable (1836, Cadastre E2), Petit Jable (1958, Cadastre E2). Ce lieu ne figure pas sur la carte IGN de 2013.

En 1789, ce domaine appartenait à Jean-Jacques Sanglier qui comparut par fondé de pouvoir à l'assemblée électorale de la noblesse de Touraine. A sa mort, il laissa trois filles et un garçon qui vendirent, en novembre 1810, Le Petit-Jable, entre autres biens, à Hippolyte Collineau, de Richelieu.

Lémeré par Tourainissime

Cérelles - L'Aitre-Dubois

Historique du nom: L’Aitre Dubois (1595, Archives 37, H, Chambrerie de l’abbaye Saint-Julien de Tours). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre et la carte IGN.

En 1532, cette métairie, ayant alors une surface de 30 arpents, relevait du fief de Châtenay. En 1595, elle appartenait à Michel Testu; en 1754, à Robert Luce, huissier au Châtelet, qui fit raser les bâtiments.

Cérelles par Tourainissime

Beaulieu-lès-Loches - Moulin-de-l'Abbaye

Historique du nom: Moulin de l’Abbaye (1827, Cadastre B1). Ce lieu ne figure plus sur le cadastre de 1959 et la carte IGN de 2013.

Ce moulin, situé sur l’Indre, appartenait à l'abbaye de Beaulieu.

Beaulieu-lès-Loches par Tourainissime