Historique du nom: Meginacum, Magniacum (1127, Charte de Foulques, comte d'Anjou), Capella Pissonnelli (XIIe siècle), Pesseoison (1706), Pisseoison (1765, Carte de Cassini), Pisse-Oison (1820, Carte de l’État-major), Les Viviers (1826, 1960, Cadastre E1), Le Vivier (2014, Carte IGN).
Au XIIe siècle, il y existait une chapelle qui était desservie par deux prêtres dont l'un se nommait Jousseaume. En 1125, Foulques, comte d'Anjou, donna à ce dernier la terre du Grais pour y bâtir un prieuré. Pisse-Oison relevait de la châtellenie d'Azay.
En 1839, ce domaine appartenait à Jean Bernard Chandesris qui mourut à Tours le 12 novembre. Son épouse, Julie Maurice, décéda le 29 juillet 1853, laissant deux fils: Édouard Jean et Adolphe. Ils se partagèrent la succession de leurs parents le 27 mars 1854. Le Vivier échut à Édouard Jean Chandesris et à sa femme, Marguerite Donnay.

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